Moelleux et si parfumé !

Si simple à faire, ce gâteau surprend toujours agréablement petits et grands par son goût original venu d’ailleurs … des US en l’occurrence puisqu’il s’agit d’un « Carrot cake », francisé en gâteau à la carotte. Je ne saurais vous dire si on peut le conserver très longtemps car, chez moi, il disparaît en 2 à 3 jours ; du coup, je n’ai jamais cherché à le congeler. Dans cette recette, outre les épices (cannelle et gingembre), il y a aussi des morceaux de noix et des raisins secs, dont la texture et le goût se marient très agréablement avec le moelleux du biscuit. Arrêtez donc de saliver, et passez à l’action : la recette se trouve en bonne place dans mon livre habituel. Dites-m’en des nouvelles !

La tradition orale a parfois du bon !


Cette recette de far aux pruneaux, je la tiens d’une vieille bretonne qui n’avais jamais éprouvé le besoin de la consigner par écrit, ni même de mesurer les ingrédients ; dans 1 litre de lait, elle mettait simplement 6 oeufs / 6 cuillères de sucre et autant de farine, plus les pruneaux bien sûr. N’empêche que je n’ai jamais goûté de far aussi bon que le sien, dont la consistance légèrement grumeleuse fait plus penser à de la semoule qu’à du flan. Afin de partager avec vous ce délicieux dessert, aussi bon tiède que froid, j’ai mis tout ça noir sur blanc, et vous trouverez la recette détaillée dans mon livre habituel.

Sans plus …

Ca faisait un bon moment que je voulais tester cette recette, mais je ne voyais pas de lotte chez « le » poissonnier du marché … que je ne visite pas non plus toutes les semaines. J’ai finalement opté pour du surgelé, puisqu’Argel livre à domicile une fois par mois, et qu’ils avaient des queues de lotte en catalogue. J’ai finalement été assez déçue par le résultat, que j’ai trouvé un peu … flottard à mon goût ! Est-ce dû au fait que j’ai cuisiné le poisson directement, sans décongélation préalable (c’était la méthode préconisée sur l’emballage ? Parce que je n’ai ajouté aucun autre liquide que le lait de coco … Je vous invite donc à tester cette recette de curry de lotte aux poivrons en choisissant plutôt du poisson frais.

A s’en lécher les babines …

J’ai toujours raffolé du cake « traditionnel », bourré de fruits confits (plus y en a, meilleur c’est !), et j’ai enfin trouvé une recette à la hauteur de ce que je cherchais. Le secret : une fois refroidi, le cake est arrosé d’un sirop ; il n’est donc jamais trop sec. Evidemment, mieux vaut le préparer un ou deux jours à l’avance, il n’en est que meilleur … à condition de pouvoir résister à la tentation ! Vous trouverez la recette dans mon livre habituel, comme d’habitude.

Pour changer un peu …

… je suis partie à la recherche d’une nouvelle recette pour cuisiner du lapin et, sur un site québécois, je suis tombée sur celle du lapin au chou. J’ai un peu adapté la recette originale, en ajoutant notamment quelques aromates, et voici le résultat … pas mal, mais le mariage lapin + chou ne figurera pas, dans mes annales, comme une recette sensationnelle. A vous de voir … vous trouverez la recette dans mon livre habituel. Au passage, j’en profite pour mentionner que mes recettes reçoivent pas mal de visiteurs, et que je vais donc m’employer à « étoffer » un peu le contenu pour encourager les gourmands à revenir souvent !

Un peu crochus, les doigts …

Bon d’accord, ils ressemblent peut-être plus à des doigts de sorcières qu’à des doigts de fées, mais question goût, il n’y a rien à redire : un pur délice ! C’est ma dernière trouvaille pour utiliser les blancs d’oeufs (à chaque fois que j’utilise un jaune pour dorer une brioche ou autre viennoiserie, je fais un orphelin …) et c’est une recette que je risque de faire souvent, d’autant plus que ces petites choses à la poudre d’amandes et à la fleur d’oranger se mangent sans faim et se conservent fort bien dans une boîte métallique. D’ailleurs, c’est simple, la recette figure déjà en bonne place dans mon livre de recettes personnelles.

Prévoyez une bonne dose de pain …

… parce qu’une sauce comme ça, elle ne finira pas dans l’évier ! Je me suis plus ou moins librement inspirée de cette recette-là pour faire ce succulent poulet aux champignons et à la crème, relevé de paprika, d’estragon et de moutarde (tous les ingrédients sont dans la phrase !) En particulier, j’ai pris des cuisses de poulet (moins sec que le blanc), donc je n’ai surtout pas ajouté d’huile (j’ai au contraire dégraissé à plusieurs reprises) et j’ai laissé mijoté beaucoup plus longtemps. Je ne l’aurais pas imaginé, mais paprika, estragon et moutarde se conjuguent à merveille pour relever cette sauce succulente parfumée aux champignons. La première fois, j’ai testé avec des pâtes (voir photo) mais, aujourd’hui, j’ai fait réchauffer une portion avec des haricots verts que j’avais simplement cuits à l’eau bouillante salée … et il m’a fallu 3 tranches de pain supplémentaires pour « saucer ». J’ai mis ma propre version de la recette dans mon livre perso ; et pour les proportions, vous faites à votre goût !

Hmm … sans plus !

J’étais très impatiente d’essayer cette recette trouvée sur Linternaute, parce que je raffole et de la fleur d’oranger et de l’huile d’olive (en particulier lorsqu’elle apporte ce goût inimitable à des préparations sucrées) ; mais j’ai été un peu déçue, parce que la fleur d’oranger est quasiment « tuée » par l’huile d’olive. Et j’ai beau aimer les biscuits bien secs, ceux-là étaient quand même un peu durs, peut-être aussi du fait que je les ai stockés dans une boîte métallique placée dans un endroit bien chaud et sec … sur le rebord de la fausse hotte qui surmonte la cuisinière à bois ! Mais je vous engage tout de même à tester, vous serez peut-être plus doué ou moins difficile que moi ; mais j’ai quand même ajouté la recette dans ma galerie. A noter que je ne me suis pas foulée question forme (quoi ? ça ne ressemble pas à des navettes) et que j’ai zappé sur le dorage à l’oeuf (dans mon esprit, ce style de biscuits doit rester pâle).

Presqu’un dessert !


Au marché, j’étais tombée sur des courgettes bio pas trop chères … du coup, j’avais pris une barquette de lardons salés en passant à la supérette locale … le reste languissait simplement dans mon frigo ou sur mes étagères, en attendant d’être utilisé. J’ai cherché un peu d’inspiration sur internet, avant de me décider à faire ma tambouille personnelle. Le résultat ? Un succulent gratin de courgettes délicieusement muscadé, absolument irrésistible ! Vous voulez essayer ? Allez donc jeter un coup d’oeil par là

Le chantier, c’était pas seulement à la maison !

Je vous présente ma nouvelle création : les premières pages d’une série consacrée à tous les trucs et astuces que j’ai adoptés et peaufinés au fil du temps. Le premier chapitre est consacré à la mise sous vide des sachets et bocaux, technique à laquelle je recours quasi-quotidiennement au moyen d’un appareil au nom sibyllin : le Magic’Vac ; pour les non-anglophones, « vacuum » signifie « faire le vide par aspiration » (un « vacuum-cleaner » est un aspirateur), ce qui explique déjà un peu mieux. Bonne lecture, et n’hésitez pas à faire vos commentaires ; je tâcherai de prendre en compte les remarques constructives dans la rédaction du prochain chapitre, qui sera sans doute celui du déshydrateur. A suivre …