Les cueillettes de l’été

Agréable de pouvoir déguster en hiver les cueillettes de l’été … a fortiori lorsqu’elles sont présentées comme ça :
Sur la base de la recette de Muffins aux myrtilles trouvée dans le petit bouquin Cookies, Muffins & Co j’ai simplement fait une adaptation personnelle pour arriver mes Muffins aux framboises sauvages, cueillies sur le Bougès en juillet dernier. En fait, j’ai simplement :

  1. remplacé les myrtilles par la même quantité de framboises
  2. ajouté un sachet de sucre vanillé (et diminué d’autant la quantité de sucre)
  3. ajouté un peu de ma poudre de citron (recette personnelle, comme les oranges présentées ici) pour relever le tout.

Presque convaincue …

Deuxième panne d’afficheur en 3 ans et demi pour ma Bréville … dommage, elle pouvait encore tourner mais sans que je puisse savoir ce qu’elle faisait … et la réparation (ajoutée à la précédente) aurait coûté aussi cher que la machine. Gros dilemme : je rachète une MAP d’entrée de gamme, ou je pars pour la Rolls des machines à pain, j’ai nommé la Panasonic. Après recherches sur le web, sondage dans les forums, je me décide, la mort dans l’âme, à réinvestir 199 euros …

… en espérant que le jeu en vaudra la chandelle ! Pour mes deux premiers pains, un complet aux graines et un seigle aux noix, je dois dire que le résultat est au rendez-vous …

… j’ai rarement réussi à avoir d’aussi belles boules. C’est vrai que je m’améliore aussi questions levain et cuisson au four, mais le pétrissage a aussi son importance.

Je vais continuer à apprivoiser la bête, en espérant d’autres belles – et bonnes – réussites.
A suivre …

Vous aussi, vous en redemanderez …

Quant arrive le jour de la daube aux olives, au Mas Cassac, on n’entend plus que les bruits des fourchettes (les assiettes en grès, ça a toujours un petit bruit inimitable …), et les plats repartent à la cuisine presque propres ! Les autres jours, on est aussi (plus que) très bien nourris ; mais la daube de Françoise, tout le monde en redemande … à tel point que je n’ai pas voulu attendre encore plusieurs mois pour me régaler de nouveau. Et j’ai trouvé sur le net cette recette, qui vaut presque l’originale (mais je m’améliorerai les fois suivantes). Je vous laisse essayer par vous-mêmes … et vous lécher les babines.

La purée revisitée

De même que pour le chawarma, j’avais rangé ce goût inimitable au rayon des souvenirs (les tables libanaises n’abondent pas dans les vallées cévenoles …), mais c’est tellement simple à faire, si bon, aussi bien chaud que froid, que l’on aurait bien tort de s’en priver ! Je ne suis pas sûre qu’il soit très orthodoxe de servir cette écrasée de pommes de terre avec du jambon, mais ça se marie très bien. Pour la recette, voyez mon livre, ou la page web originale. Bon appétit.

Complet, délicieux et léger à la fois

Un plat complet et pas trop riche en calories, facile à faire, qui se congèle facilement et se réchauffe sans problème ? Faites des lasagnes au saumon ! Outre les lasagnes et le saumon, il vous faudra des épinards et de la ricotta, un peu de fromage râpé et d’huile d’olive, et un soupçon de crème fraiche ; vous alternez les tranches et mettez le tout à cuire et gratiner, et il ne reste plus qu’à déguster … Pour plus de détails, voir la recette dans mon livre ou sur le site original. Si vous n’avez pas d’épinards surgelés, ça marche aussi avec ceux en conserve ; et vous pouvez prendre du saumon surgelé si le poissonnier n’est pas à portée de voix. C’est ce que j’ai fait, et je m’en lèche encore les babines. Je crois que les portions que j’ai congelées ne vont pas faire long feu au congélateur …

Ca faisait un sacré bail !

Plus de 25 ans, je crois, que je n’avais pas goûté à ce petit délice : du chawarma de poulet que j’achetais à l’époque sous forme de sandwich à la micro-échoppe du libanais qui se trouvait à deux pas de mon bureau. Vous trouverez la recette en bonne place dans mon livre. Là, je me suis contentée de le servir avec du riz basmati agrémenté d’une sauce aux herbes (du jardin, of course) ; mais vous pouvez aussi le manger dans – ou avec – du pain pita, bien sûr.

Il est gonflé !

Pour être tout à fait honnête, c’est le seul – et le dernier de la série – que j’ai réussi comme ça ; les précédents sont plutôt … raplapla ! Ils n’en sont pas moins bons pour autant, seulement un peu délicats à utiliser pour faire des sandwichs à la libanaise (ou à la maghrébine, ou à la turque, c’est tout comme). Par ces chaudes journées, j’apprécie les repas de type mezzés, qui s’accompagnent fort bien de ces pains plats. Après les tortillas de blé, voici les pains pitas, qui demandent un peu plus de doigté puisqu’il s’agit d’une pâte levée, puis étalée au rouleau … avant d’être transférée sur la plaque de cuisson préchauffée. Le premier essai n’était peut-être pas un coup de maître, mais je compte bien m’améliorer, car ces petites galettes à fourrer (ou non) sont décidément délicieuses. La recette d’origine vient de , mais vous la trouverez également au format pdf (enregistrable et imprimable) dans mon livre de recettes. Bon appétit !

Copie pas très conforme

A ma droite, une instution : les biscuits Digestive, de chez McVities (encore que, personnellement, je préférais ceux vendus sous la marque St Michaels que j’achetais chez feu Marks & Spencer …) ; à ma gauche, une copie pourtant annoncée comme fidèle, réalisée à partir de cette recette (… que l’on retrouve d’ailleurs à l’identique sur pas mal d’autres pages web). Mon constat : ça ressemble, mais ça n’est pas encore ça ; un peu trop gras et salés, je diminuerai donc la quantité de beurre (salé) lors de mon prochain essai, et remplacerai par un peu de lait et/ou d’eau pour pouvoir quand même amalgamer la pâte. A suivre …

Qui pourrait ne pas aimer ça ?


Caramélisés à l’extérieur, délicieusement moëlleux à l’intérieur, et ce petit goût inimitable … je n’ai encore jamais rencontré quelqu’un qui puisse résister à un cannelé ! En plus, dans leur version « mini », ils sont croqués d’une bouchée … bref, même sans faim, il est impossible de s’empêcher de piocher dans la boîte lorsqu’elle passe (c’est plutôt moi qui passe …) à proximité, ce qui fait que le stock ne dure jamais bien longtemps. Ce n’est d’ailleurs pas plus mal, car je ne sais pas ce qu’ils donnent après congélation (un test à faire) et ils ne peuvent être conservés plus de quelques jours en boîte métallique. La recette est hyper-simple, mais il faut bien évidemment :

  • le moule adéquat : c’est pourquoi j’ai tant tardé à me lancer dans la fabrication de ces petites choses ; surtout, investissez dans le silicone (sous peine de devoir beurrer les alvéoles une à une !) et achetez tout de suite 2 plaques pour ne faire qu’une fournée, car la cuisson est très longue
  • le secret de cuisson : 5 minutes à température maximum du four, pour obtenir la croûte caramélisée, puis 50 à 55 minutes à four nettement plus doux, pour obtenir ce coeur fondant.

Bon appétit !

Totalement improvisé !

Dans le style « je mets tout dans la gamelle, ça cuit tout seul, et c’est prêt à déguster 2 heures plus tard », voic ma nouvelle création : des boulettes de boeuf (achetée surgelées) au curry avec leurs légumes. J’ai mis en vrac dans la cocotte les boulettes, un peu d’oignon, des pommes de terre et des petits pois (surgelés aussi), arrosé le tout d’un bouillon-cube + curry dilué dans de l’eau tiède, enfourné et ne me suis plus occupée de rien. Et le résultat … n’est pas mauvais du tout, loin de là ! Plus de détails (mais pas beaucoup) dans mon livre de recettes habituel.