Les cueillettes de l’été

Agréable de pouvoir déguster en hiver les cueillettes de l’été … a fortiori lorsqu’elles sont présentées comme ça :
Sur la base de la recette de Muffins aux myrtilles trouvée dans le petit bouquin Cookies, Muffins & Co j’ai simplement fait une adaptation personnelle pour arriver mes Muffins aux framboises sauvages, cueillies sur le Bougès en juillet dernier. En fait, j’ai simplement :

  1. remplacé les myrtilles par la même quantité de framboises
  2. ajouté un sachet de sucre vanillé (et diminué d’autant la quantité de sucre)
  3. ajouté un peu de ma poudre de citron (recette personnelle, comme les oranges présentées ici) pour relever le tout.

Copie pas très conforme

A ma droite, une instution : les biscuits Digestive, de chez McVities (encore que, personnellement, je préférais ceux vendus sous la marque St Michaels que j’achetais chez feu Marks & Spencer …) ; à ma gauche, une copie pourtant annoncée comme fidèle, réalisée à partir de cette recette (… que l’on retrouve d’ailleurs à l’identique sur pas mal d’autres pages web). Mon constat : ça ressemble, mais ça n’est pas encore ça ; un peu trop gras et salés, je diminuerai donc la quantité de beurre (salé) lors de mon prochain essai, et remplacerai par un peu de lait et/ou d’eau pour pouvoir quand même amalgamer la pâte. A suivre …

Qui pourrait ne pas aimer ça ?


Caramélisés à l’extérieur, délicieusement moëlleux à l’intérieur, et ce petit goût inimitable … je n’ai encore jamais rencontré quelqu’un qui puisse résister à un cannelé ! En plus, dans leur version « mini », ils sont croqués d’une bouchée … bref, même sans faim, il est impossible de s’empêcher de piocher dans la boîte lorsqu’elle passe (c’est plutôt moi qui passe …) à proximité, ce qui fait que le stock ne dure jamais bien longtemps. Ce n’est d’ailleurs pas plus mal, car je ne sais pas ce qu’ils donnent après congélation (un test à faire) et ils ne peuvent être conservés plus de quelques jours en boîte métallique. La recette est hyper-simple, mais il faut bien évidemment :

  • le moule adéquat : c’est pourquoi j’ai tant tardé à me lancer dans la fabrication de ces petites choses ; surtout, investissez dans le silicone (sous peine de devoir beurrer les alvéoles une à une !) et achetez tout de suite 2 plaques pour ne faire qu’une fournée, car la cuisson est très longue
  • le secret de cuisson : 5 minutes à température maximum du four, pour obtenir la croûte caramélisée, puis 50 à 55 minutes à four nettement plus doux, pour obtenir ce coeur fondant.

Bon appétit !

Un peu crochus, les doigts …

Bon d’accord, ils ressemblent peut-être plus à des doigts de sorcières qu’à des doigts de fées, mais question goût, il n’y a rien à redire : un pur délice ! C’est ma dernière trouvaille pour utiliser les blancs d’oeufs (à chaque fois que j’utilise un jaune pour dorer une brioche ou autre viennoiserie, je fais un orphelin …) et c’est une recette que je risque de faire souvent, d’autant plus que ces petites choses à la poudre d’amandes et à la fleur d’oranger se mangent sans faim et se conservent fort bien dans une boîte métallique. D’ailleurs, c’est simple, la recette figure déjà en bonne place dans mon livre de recettes personnelles.

Hmm … sans plus !

J’étais très impatiente d’essayer cette recette trouvée sur Linternaute, parce que je raffole et de la fleur d’oranger et de l’huile d’olive (en particulier lorsqu’elle apporte ce goût inimitable à des préparations sucrées) ; mais j’ai été un peu déçue, parce que la fleur d’oranger est quasiment « tuée » par l’huile d’olive. Et j’ai beau aimer les biscuits bien secs, ceux-là étaient quand même un peu durs, peut-être aussi du fait que je les ai stockés dans une boîte métallique placée dans un endroit bien chaud et sec … sur le rebord de la fausse hotte qui surmonte la cuisinière à bois ! Mais je vous engage tout de même à tester, vous serez peut-être plus doué ou moins difficile que moi ; mais j’ai quand même ajouté la recette dans ma galerie. A noter que je ne me suis pas foulée question forme (quoi ? ça ne ressemble pas à des navettes) et que j’ai zappé sur le dorage à l’oeuf (dans mon esprit, ce style de biscuits doit rester pâle).

Et quand la lune est pleine, hein ?

C’est pas parce qu’ils sont en forme de boules que ce ne sont pas des croissants, na ! En tout cas, ces petites choses aux pignons et amandes sont tout bonnement délicieuses et permettent, en outre, d’utiliser des blancs d’oeufs esseulés (quand on dore les brioches et autres viennoiseries au jaune d’oeuf, qu’est-ce qui reste, à votre avis ?) Pour la recette, c’est dans mon bouquin personnel, sur cette page.

Pas mauvais du tout !

… encore qu’ils manquent un peu de fleur d’oranger (je n’ai mis qu’une cuillère à soupe pour 500 g de farine) pour mon goût. Mais, au risque de vous frustrer, je ne vais pas vous communiquer la recette aujourd’hui, car j’ai dû pas mal interpréter la recette d’origine (impossible d’amalgamer la pâte, il n’y avait quasiment pas de liquide !) et ne suis pas totalement satisfaite du résultat. C’est promis, vous aurez « ma » version la prochaine fois que je ferai ces délicieuses galettes marocaines à l’anis et au sésame … pas tout de suite, hein ! Parce que j’en ai quand même mis 8 au congélateur, et que je ne compte pas en manger 3 par jour !

Toute ressemblance n’est absolument pas fortuite …


Si vous êtes accros, ou même seulement adeptes, des délicieux petits croissants sablés aux noisettes de la marque … (désolée, j’achète si rarement des biscuits dans le commerce que j’ai carrément oublié le nom !) je vous propose cette réplique tout à fait à la hauteur ; de fait, j’ai du mal à résister à chaque fois que je passe à proximité de la boîte métallique dans laquelle se trouve le stock … que je vais devoir reconstituer bientôt. Pour la recette, c’est par là que ça se passe, avec des conseils et photos de réalisation . Si les miens n’ont pas tout à fait le look réglementaire, c’est que je me suis aperçue au moment de l’utiliser que le pot que je croyais être du sucre glace renfermait en fait de l’édulcorant en poudre (j’avais du l’acheter l’été dernier pour sucrer les fraises …) Evidemment, pas question de faire 1/2 heure de route dans chaque sens pour aller me réapprovisionner ; mes croissants ont donc été roulés dans l’édulcorant … et ils sont très bons comme ça, na !

J’ai fini par « la » trouver !


L’objet de mes recherches obstinées (depuis plusieurs années en fait) était LA recette du VRAI brownie ! Cette fois, ça y est ! Les amis qui l’ont goûté ont confirmé : il est tout à fait identique à celui qu’ils achètent chez leur boulanger ; d’ailleurs, ils m’ont demandé illico la recette, c’est tout dire … Et si vous êtes encore sceptiques, je renvoie à la liste des commentaires, tous plus élogieux les uns que les autres, sur le site de Linternaute, pas moins de … 167 à la date d’aujourd’hui ! Alors, la recette ? la voici. Et pendant que vous faites vos propres tests et dégustations, je m’en vais à la recherche de la recette d’un autre délice, un peu plus français – pour ne pas dire corsico-cévenol – celui-là ; il s’agit du fondant aux châtaignes. J’en ai dégusté un succulent, il y a près d’un an, au Pont de Montvert. Toutes les fois que je suis repassé là-bas, la boulangerie était fermée … jusqu’à ce dimanche après-midi où j’ai raflé les 5 pièces qui restaient (non, je n’en ai mangé qu’un tout de suite, les autres sont au congélateur …) Las ! Ils étaient passablement trop cuits, et je n’ai pas retrouvé le délice onctueux dont j’avais gardé le souvenir. Reste à écumer le net pour trouver des recettes, et à tester … Je vous tiens au courant lorsque j’ai trouvé LA recette.