Moelleux et si parfumé !

Si simple à faire, ce gâteau surprend toujours agréablement petits et grands par son goût original venu d’ailleurs … des US en l’occurrence puisqu’il s’agit d’un « Carrot cake », francisé en gâteau à la carotte. Je ne saurais vous dire si on peut le conserver très longtemps car, chez moi, il disparaît en 2 à 3 jours ; du coup, je n’ai jamais cherché à le congeler. Dans cette recette, outre les épices (cannelle et gingembre), il y a aussi des morceaux de noix et des raisins secs, dont la texture et le goût se marient très agréablement avec le moelleux du biscuit. Arrêtez donc de saliver, et passez à l’action : la recette se trouve en bonne place dans mon livre habituel. Dites-m’en des nouvelles !

A s’en lécher les babines …

J’ai toujours raffolé du cake « traditionnel », bourré de fruits confits (plus y en a, meilleur c’est !), et j’ai enfin trouvé une recette à la hauteur de ce que je cherchais. Le secret : une fois refroidi, le cake est arrosé d’un sirop ; il n’est donc jamais trop sec. Evidemment, mieux vaut le préparer un ou deux jours à l’avance, il n’en est que meilleur … à condition de pouvoir résister à la tentation ! Vous trouverez la recette dans mon livre habituel, comme d’habitude.

Je ne sais vraiment pas pourquoi j’ai attendu si longtemps …

… mais, cette fois-ci, le déclic s’est fait : j’ai fait mes premiers « pains plats » ; l’été étant arrivé d’un seul coup, sans férir, je me suis remise à consommer mes « plats fraîcheur » favoris sous forme de mezzé : tzatziki, hoummos, caviar d’aubergines, et autres spécialités d’origine le plus souvent méditerranéenne (pas le guacamole, bien sûr, mais je le range dans la même catégorie) qui s’accompagnent très bien de pains cuits à la poêle. Pour commencer, j’ai testé ces tortillas de blé, qui sont un vrai régal et, en plus, très simples à faire ; en fait, le plus difficile était de transférer la pâte dans la poêle : elle était en effet très molle, peut-être parce que j’ai utilisé le minimum de farine prévu dans la recette, et avait tendance à se déformer voire à faire des plis … Du coup, ma crépière en fonte, qui se morfondait depuis des lustres au fond d’un placard, a repris du service : elle est beaucoup plus pratique (plus grande, et avec de tous petits rebords) qu’une poêle ordinaire. Et puis, je compte bien continuer sur ma lancée : depuis le temps que je rechigne à tester les recettes de pains pita, nans et autres pains de même style, c’est maintenant l’occasion de m’y mettre ; d’autant plus que, vous l’aurez deviné, la plus grande part (j’en ai quand même mangé 3 d’un coup au premier repas, tellement elles étaient bonnes …) de la production part au congélateur, et qu’il me suffit ensuite de 30″ au micro-ondes pour avoir une galette toute chaude pour accompagner mon repas. Alors, ça vous tente ?

La croûte ne fait pas le pain


En l’occurrence, elle le fait d’autant moins pour ces fougasses dont tout l’intérêt est … la garniture (oignons-lardons, tomates-thon-anchois-olives ou bleu-noix sont les variantes présentées ici). J’apprécie d’autant plus cette délicieuse recette, que je trouve cette solution éminement pratique lorsque je pars randonner pour la journée : je sors du congélateur une fougasse toute prête, la laisse dégeler tranquillement toute la matinée dans mon sac à dos, et j’ai mon repas quasi-complet pour le déjeuner ! En plus, ces fougasses sont très simples à faire, et on peut les garnir … avec tout ce qu’on aime ! Donc place à l’imagination et à la gourmandise …

Aussi bonne qu’elle est belle !


Ca faisait un bon moment que je rêvais de pissaladière … il suffisait de passer à l’acte ! Pour ce faire, j’ai fait un cocktail « à ma sauce » de plusieurs recettes web, ce qui donne :

  • 400 à 500 g de pâte à pain : j’ai utilisé la recette de pâte à pizza de ma MAP pour 480 g de farine, ce qui fait que j’en ai obtenu beaucoup trop ; la prochaine fois, je n’utiliserai que la moitié du pâton, et congèlerai le reste pour une autre utilisation
  • un bon kilo d’oignons : à émincer et faire fondre dans un peu d’huile d’olive. Ils faut qu’ils soient bien cuits (1 heure au moins) sans être colorés ; s’ils ont rendu beaucoup de jus, les faire « dessécher » à découvert pour terminer, avant d’y ajouter une cuiller à soupe de sucre (cassonade en ce qui me concerne)
  • anchois : j’ai préféré les prendre à l’huile plutôt qu’en saumure
  • quelques olives noires

Etalez la pâte (j’en ai rempli une pleine plaque à pâtisserie !) et la disposez dans un moule ou sur une feuille de cuisson (ou papier sulfurisé) posée sur une plaque à pâtisserie. Disposez dessus les oignons, et saupoudrez d’un peu de thym (le petit plus …) Décorez à volonté avec anchois et olives, et mettez à four chaud (j’ai mis à 250°, mais c’était manifestement trop ! je me fierai aux instructions de mon four pour la prochaine fois) pour une trentaine de minutes. Dégustez chaud, tiède ou froid , de toute manière, c’est un régal ! et la maison en reste parfumée pour un bon moment …

C’est pas pour la vue …


… parce que, côté look, je les trouve nettement améliorés par rapport à la fois précédente. Côté papilles, il faudra améliorer : j’ai mis là-dedans des sardines à l’huile (après avoir retiré l’arête centrale), des patates cuites, des olives noires en morceaux (prenez-les dénoyautées, ça ira plus vite …), un oeuf (j’éviterai la prochaine fois, il a dû contribuer à bétonner le tout) et quelques herbes que j’avais sous la main ; en fait, ça n’était pas mauvais du tout, juste un peu … sec et bourratif. Pour une prochaine, je transformerai les pommes de terre en purée, plutôt que de les utiliser « à sec », et j’ajouterai peut-être quelques tomates (pour la couleur, le goût et la texture). Mais ce qui tue surtout, c’est l’odeur ! Exactement comme si j’avais fait griller des sardines … Il y intérêt à démarrer la hotte filtrante à l’avance et à la laisser tourner longtemps après la fin de cuisson ! C’est p’têt bien pour ça qu’on les fait plutôt au thon d’habitude …

Faudra voir à améliorer le pliage …


… mais pour un premier essai, avec ce que j’ai trouvé dans le frigo (un reste de feta, écrasé à la fourchette) et dans le placard (une boîte d’épinards, bien égouttés – je devrais même dire « essorés »), je suis plutôt satisfaite du résultat ; il m’a suffi de badigeonner chaque feuille de brick à l’huile d’olive (vive le pinceau en silicone !), de déposer dessus environ une cuillère à soupe de garniture épinards-feta, de plier le tout en triangle et d’enfourner tout ça à four chaud (180°C) pour 20 minutes. Je sens que je vais devenir accro de la feuille de brick, et tester toutes sortes de mélanges salés ou sucrés. A suivre donc …

Tout en tarte !


Depuis que j’ai redécouvert le bon goût de la pâte brisée faite maison, je n’arrête plus ! J’ai commencé par refaire une variante de la tarte aux courgettes de l’autre jour, en faisant bien cuire les courgettes cette fois, et en remplaçant la crème fraîche par du lait (écrémé, en ce qui me concerne). Puis, j’ai eu une subite envie de thon et d’olives … J’ai commencé par faire cuire des poivrons et des oignons émincés dans un peu d’huile d’olive avec des herbes de provence. Sur mon fond de tarte (saupoudré de tapioca, comme d’habitude), j’ai mis du thon (au naturel), mon mélange poivrons-oignons, des tomates égrenées et bien égouttées, et des olives noires ; versé là-dessus 4 oeufs battus avec du lait (à vue de nez, il y avait à peu près le même volume de lait que d’oeufs), saupoudré le tout d’origan et mis au four pour une quarantaine de minutes. Je m’en lèche encore les babines … Par contre, la prochaine fois, je changerai l’arôme de la pâte ; le curry que j’y ai mis cette fois-ci lui a donné un petit goût exotique des plus réussi, mais qui ne se mariait pas très bien avec la garniture plutôt … provençale. Bon, il n’y a que ceux qui ne tentent rien qui ne font jamais de bêtises !

Le pur fruit de mon imagination


En fait, il s’agit plutôt de légumes … Ca a commencé par une brusque envie de manger des légumes, des courgettes plutôt sympa trouvées à la petite épicerie du village, une bûche de chèvre achetée en passant au Super-U (j’allais quand même pas utiliser du Pélardon AOC !) La pâte brisée, je l’ai faite la veille selon la recette de Super Toinette (à laquelle j’ai ajouté une pincée de muscade, mais elle ne se sentait pas beaucoup), enveloppée d’un film alimentaire et mise au frigo pour la nuit. Le temps que la pâte revienne à la température ambiante, j’ai fait revenir 200g de lardons fumés. A leur place dans la sauteuse, j’ai mis 3 gousses d’ail émincées et les courgettes en rondelles (j’ai dû procéder en 2 fois, car j’avais beaucoup de courgettes !), saupoudrées d’un peu d’origan et de poivre du moulin ; je n’ai pas ajouté de sel because lardons + chèvre + sel sur les courgettes que j’avais mises à dégorger un peu avant de les faire revenir. Je me suis ensuite attaquée à la pâte : le terme n’est pas exagéré, car le « bloc » était encore bien ferme ; je l’ai bien aplatie avec mes mains, après ça elle a été plus maniable au rouleau et j’ai réussi faire une abaisse très fine. Je ne graisse plus les moules depuis belle lurette, le papier sulfurisé est tellement plus pratique ! J’ai juste passé le moule sous l’eau pour que le papier adhère plus ou moins aux parois, avant de découper le gros de ce qui dépassait et d’y mettre la pâte pliée en quatre (Cf. le truc sur cette page, c’est super !) Pour éviter que la pâte ne se détrempe, je l’ai saupoudrée de tapioca (1 à 2 cuillères à soupe), puis j’ai mis les courgettes, les lardons, le chèvre en morceaux, arrosé le tout de 4 oeufs battus avec environ la moitié d’un pot de crème fraîche. Histoire de faire quelque chose avec les chutes de pâte, j’ai fait des lanières avec un couteau à pizza rotatif, et les ai posées en croisillons sur la tarte. Le tout au four préchauffé à 200° pour 40 minutes … C’était tellement bon (une pâte croustillante et délicieuse comme je ne l’avais encore jamais réussie !) qu’après une première part, je m’en suis octroyée une deuxième en guise de dessert ! Mon seul regret, c’est que les courgettes n’étaient trop craquantes ; j’aurais du les faire cuire un peu plus avant de les incorporer ; mais pour le reste, y a franchement rien à redire.

Histoire de reconstituer les réserves …


Suivant ma bonne habitude, c’est une portion à déguster immédiatement, une ou deux au frigo pour les jours qui viennent, et 4 ou 5 au congélateur. Lorsque j’aurais reçu mon déshydrateur (commandé aujourd’hui), je diminuerai les quantités congelées de manière à reconstituer un petit stock de plats prêts à reconstituer avec un peu d’eau bouillante lorsque je suis en vadrouille. Là c’est du curry de boeuf aux cacahuètes selon la recette trouvée dans ce super-bouquin. Miam ! Mais je le trouve un peu moins bon que la tournée que j’avais préparée cet été au Québec : il n’y avait pas tout à fait assez de lait de coco (le boucher m’avait donné pas loin d’un kilo de viande, et je n’avais prévu que pour 600 ou 700 g !) et j’ai utilisé du Nuoc-Mam (à la place de la sauce de poisson thaï de la recette) dont je ne suis finalement pas vraiment fana ; j’avais trouvé ça mieux avec de la sauce soja, mais ça se mange bien quand même !