Ils n’ont qu’un seul défaut …


… Y en pas assez ! Les proportions données dans la recette n’ont fourni que 9 muffins (même pas de quoi remplir mes 2 plaques de 6 !), et ils sont tellement bons qu’ils ne vont pas faire long feu. Ne me demandez pas pourquoi ils s’appellent les « muffins du castor aux épices », ni où j’ai trouvé la recette (quelque part sur le net, mais je ne sais plus où …) mais si vous aimez le mélange chocolat noir + orange + épices, le tout pas trop sucré, c’est forcément fait pour vous ; alors, je vous ai mis la recette . Je dois dire que, moi, j’ai un peu simplifié : j’ai carrément fait fondre le beurre avec le chocolat, et battu les oeufs uniquement avec le sucre ; et le résultat était tout à fait à la hauteur de mes espérances.

Quand c’est bon, déclinons !


J’ai refait dernièrement ces sablés à l’huile d’olive et au romarin, et les ai trouvés tellement bon que j’ai décidé de faire des variantes. Le premier essai (ci-dessus) est tout simplement la recette de base, dans laquelle j’ai remplacé le romarin par des graines d’anis, et le résultat est tout à fait à la hauteur de mes espérances : ces sablés sont un pur régal, quoique moins original que la saveur romarin, et ils se conservent très bien dans une boîte métallique (heureusement que la quantité de pâte permet de faire deux plaque d’un coup, car ils se mangent assez vite …) La prochaine fois, je compte essayer de les parfumer à l’orange, qui devrait se marier fort bien avec l’huile d’olive et le rhum. J’ai encore quelques doutes, mais je me demande si ne vais pas essayer aussi avec de la farine de châtaignes … Si vous avez d’autres idées de déclinaisons possibles, n’hésitez pas à me faire part de vos suggestions …

Il m’aura fallu au moins 35 ans …


… pour maîtriser la chose ! Non pas que j’ai sans cesse tenté de faire des meringues pendant tout ce temps ; j’avais seulement fini par décréter, en désespoir de cause, qu’il était impossible de ne pas rater les meringues-maison. Mais le problème avec la boulange, c’est qu’on « génère » plein de blancs d’oeufs (on utilise le jaune pour dorer les brioches et autres préparations sucrées) qu’il est fort dommage de jeter ; alors, lorsque je suis tombée sur cette recette, j’ai voulu re-tenter l’expérience, et … ça-a-mar-ché ! La seule chose que je n’avais pas prévu, c’est la difficulté d’utiliser une poche à douilles avec ce genre de préparation, toute molle et très collante … Donc, après coup (et après m’être nettoyée et avoir mis une partie de mes vêtements au sale), je suis allée à la recherche de trucs et autres tours de main sur le net, et j’ai pu constater que je n’étais pas la seule à avoir du mal avec l’engin : jugez plutôt en parcourant ces mésaventures à la poche à douille mais ne le faites pas en buvant votre thé/café devant l’écran, sous peine de devoir vous payer un nettoyage de clavier en règle !

Difficile de faire plus simple !



Prenez de la pâte feuilletée toute prête, saupoudrez d’un mélange de sucre et de sucre vanillé (n’ayant pas de sucre vanillé, j’ai simplement dilué un peu de vanille liquide dans une cuillerée de lait, puis badigeonné au pinceau avant de saupoudrer de sucre). Ne lésinez pas trop sur le sucre pour que ça caramélise à la cuisson (j’en avais pas mis assez !). Repliez chaque grand côté du rectangle vers le milieu, puis les deux plis l’un sur l’autre (en forme de palmier, quoi ! Pis si votre pâte est ronde – comme la mienne – débrouillez-vous !). Mettez au congélateur 5 minutes pour faciliter la découpe, puis trancher la bande de pâte tous les 0,5 cm. Posez les palmiers à plat sur une plaque recouverte de papier sulfurisé, et e – spa – cez – les – beau – coup (3 cm, c’est pas assez, voyez le résultat) pour qu’ils puissent s’étaler tout leur content en largeur. Au four préchauffé à 200° pendant 15 minutes. Il paraît qu’ils se conservent dans une boîte métallique, mais j’ai pas eu l’occasion de tester … Je crois bien que je vais devenir une accro de la pâte feuilletée, car bien sûr, on peut décliner ces petites choses dans toutes les variantes imaginables : à la cannelle, salés au fromage, etc.

C’est la variante que je préfère


Evidemment, après avoir doré aux jaunes d’oeuf les fouaces de Rabelais, il me restait les blancs … Comme j’avais aussi un stock de poudre d’amandes et de l’essence d’amande amère, j’ai testé une autre recette d’amaretti, avec les blancs d’oeufs montés en neige cette fois. La préparation était tellement molle (peut-être ai-je insuffisamment battu mes blancs ?) que j’ai du rajouter 50 g de poudre d’amandes pour arriver à façonner des boules. Et encore, ça collait encore bien aux mimines ! Mais le résultat est tout à fait succulent, avec une vraie consistance de macarons. Miamm … (j’ai mis le stock dans une boîte métallique, mais elle ne va pas tarder à être vide).

Toujours pas çà !


Ca doit faire au moins une demi-douzaine de recettes que je teste, mais je n’obtiens toujours pas des brownies moëlleux à mon goût. La dernière en date vient de , mais je n’ai mis que 150 g de sucre, car la quantité annoncée me paraissait tout à fait hors de proportions ! Le résultat n’est pas mal au goût (j’ai bien fait de réduire le sucre …), mais trop sec à mon goût ; je crois que je ré-essaierai avec un oeuf de moins pour voir ce que ça donne. A moins que l’un(e) d’entre vous n’ait une autre recette à me proposer ?

Faut bien reconstituer les réserves …

Chocolate chip cookies … avec des flocons d’avoine

Oui, parce qu’avant de déménager – une fois de plus – j’ai « consommé » un maximum de choses. D’abord – 1) parce qu’avec les travaux, je n’avais pas franchement le temps de cuisiner/pâtisser – 2) parce que ça faisait ça de moins à trimballer (surtout ce qu’il y avait dans le congélateur, d’ailleurs). Donc, depuis quelques jours, je prépare plein de bonnes choses pour remplir congélateur, boîtes métalliques et autres récipients sous vide. Parce que j’aime bien être aux fourneaux, mais pas tous les jours ; et que je trouve le « fait maison » bien meilleur que le tout prêt en boîte / sachet / etc. Donc aujourd’hui, c’était le jour des chocolate chip cookies : avec les proportions de la recette, j’en ai rempli 3 boîtes métalliques (malgré la taille du four, il m’a fallu faire 2 fournées !). Je vous laisse essayer ; il n’y a rien de plus simple à faire : on mélange tous les ingrédients et on fait des petits tas sur une plaque recouverte de papier sulfurisé (après, on jette le papier, et c’est à peine si on a besoin de laver la plaque).D’autres idées gourmandes …

Pourquoi faire simple ?

Muffins aux carottes, gingembre et clou de girofle

Ces muffins sont absolument fabuleux, mais pourquoi donc donner les proportions en volume plutôt qu’en poids ? Je sais, c’est l’habitude ici, mais c’est fichtrement compliqué ! D’abord, on en fout partout (versez la farine d’un gros sac – 2,5 kg, c’est un petit sac – dans un gobelet doseur et vous m’en direz des nouvelles) ; ensuite, ça n’est pas précis du tout (le sucre se tasse assez bien, mais la farine est plus ou moins « aérée », et puis la surface n’est jamais bien alignée sur le trait). Mais le pire, c’est encore pour les carottes : il faut attendre de les avoir râpées pour savoir si on en a assez, ou s’il reste encore de quoi faire un hors-d’oeuvre pour 6 personnes (sauf que, moi, je suis toute seule à manger, et que je ne raffole pas des carottes crues !) Je vais être sympa avec vous : moi il m’a fallu 3 carottes (longues et effilées) pour obtenir les 2 tasses de « râpures » nécessaires. Pour le détail de la recette, c’est ici ; mais je vous jure que, pour la prochaine fois, je commencerai par convertir toutes les tasses d’ingrédients secs en grammes ! Na !PS : je les ai trouvé un peu trop « humides » et longs à cuire (j’ai du ajouter 10 bonnes minutes), mais il est fort possible que ma quantité de farine ait été un peu trop juste (pas assez tassée …)D’autres idées gourmandes …

Une journée bien gourmande …

Rien de tel qu’une journée maussade (la première sans soleil depuis une semaine) pour passer un peu de temps devant les fourneaux : remplir les bocaux, boîtes métalliques et congélateur de spécialités maison, c’est un passe-temps que j’apprécie !

Sablés à l’huile d’olive, rhum et romarin
J’ai d’abord voulu tester les sablés à l’huile d’olive, rhum et romarin. Il y a des mélanges auxquels je ne résiste pas, et l’huile d’olive avec des herbes dans une spécialité sucrée, c’est quelque chose que je ne pouvais pas laisser passer ! Commentaires : j’ai du ajouter pas mal de farine pour réussir à « agglomérer » la pâte, je mettrais un peu plus de romarin la prochaine fois, et je laisserai les sablés dorer un peu plus. Pour votre gouverne, avec les proportions données, j’ai fait 75 sablés en forme de lune (a priori moins grands que des ronds), donc j’ai des réserves d’avance (je préfère nettement ça aux biscuits industriels et ça se conserve tout aussi bien).

Amaretti La recette précédente m’ayant laissé avec 2 blancs d’oeufs, je les ai utilisés en faisant des amaretti. J’avais adoré ces petits macarons à l’amande amère que j’avais découverts à la Foire de Paris il y a presqu’un an, et je rêvais d’en faire à la maison. Délicieux, mais j’aurais peut-être du les faire cuire un peu moins : le dessous est un peu dur.

Apple pie Dernier projet du jour : l’apple pie pour utiliser 1 kg de pommes assez acides ; j’espère que la photo vous met l’eau à la bouche … Mes petits commentaires perso :

  • un peu trop léger en cannelle à mon goût : j’en mettrai au moins 2 fois autant la fois prochaine
  • la pâte est très, très délicate à travailler. Heureusement, comme je n’avais pas de plan de travail disponible, j’ai utilisé une plaque souple « à étaler la pâte » sur ma table de salle à manger ; ça m’a permis de retourner relativement facilement les abaisses de pâte au-dessus du moule (en m’aidant d’une spatule pour les décoller, tout de même …) Sans ça, je ne pense pas que j’y serais arrivée !
  • même en la coupant refroidie et avec un couteau rotatif (spécial pizza), ça la « démolit » un peu, mais ça fait partie du charme de ce genre de dessert …
  • je l’ai mangé (pas entière, hein ! les 3/4 sont au congélateur, et il m’en reste encore un gros morceau pour ce soir et/ou demain) tiédie au micro-ondes, et avec un peu de crème liquide. Comme les pommes ne sont pas sucrées, je pense qu’il vaudrait mieux un accompagnement qui le soit un peu : je pense essayer avec de la « custard cream » ; sinon, une crème anglaise ou une boule de glace vanille devraient très bien aller.

Euh … bon … je vous souhaite bon appétit (moi, je n’ai plus faim ! merci)D’autres idées gourmandes …

J’adore cette manière vider les placards !

Cookies au chocolat, à l’orange et aux noix

Ben oui, il me restait 200 g de bon chocolat noir, il fallait bien que je l’utilise … Le résultat n’est pas mauvais du tout, et en plus, c’est simple et hyper-rapide à faire. Je vais avoir pitié de vous, et vous éviter de chercher le mot « cookie » dans Google ou n’importe quel autre moteur de recherche car, malheureusement, les réponses proposées n’ont pas grand chose de comestible ! La recette se trouve là : http://tinyurl.com/9ls9x.PS : il me reste aussi plein de raisins secs et des « grains de sucre », j’ai une petite idée sur la manière de les utiliser. A suivre …