Drôle de crêpe !
Les anglophones appellent ça « fruit leather » (cuir de fruit) ; les – rares – traductions françaises que j’ai vues parlaient de « crêpe de fruit ». C’est tout simplement des fruits mixés, puis déshydratés, que je découpe ensuite en petits morceaux pour consommation « sur le pouce » en randonnée. Cette fois-ci, le mélange est fraises + bananes additionnées de miel (les fraises n’étaient pas hyper-mûres) et d’un peu de jus de citron. Mais les mélanges les plus fantaisistes sont permis !
Ca se mange ?
Je n’avais pas encore essayé
En faisant les courses ce matin, je suis tombée en arrêt devant les pastèques ; je ne raffole pas beaucoup de ce fruit, dont je trouve qu’il n’a pas vraiment de goût, mais j’ai eu envie d’en faire sécher, « pour voir » … J’ai simplement fait macérer quelques heures les morceaux dans du miel un peu dilué, pour leur donner un petit goût supplémentaire et un aspect un peu « glacé », avant de les mettre dans le déshydrateur. Verdict dans quelques heures …
J’ai profité des promos
3 livres de fraises pour le prix du kilo ; j’en ai profité pour faire quelques réserves de fraises séchées. Quelques heures pour déshydrater 5 plateaux de fraises en tranches, puis j’ai mis le tout en bocal sous vide ; de quoi grignoter « sainement » (pur fruit, sans sucre ni conservateur) en rando, ou même à la maison.
Le plus intéressant de l’histoire, c’est que ces fruits en promo ne sont généralement pas toujours des plus fameux (la qualité top, ils la vendent malheureusement au prix top !), mais que leur goût se concentre lors de la déshydratation, et le résultat est succulent.
Bon appétit.
Ah les voraces !
Goûté pour vous
Et mes champignons, ils sont bons
Le bocal en contient une bonne livre, tranchés.
Quant à ceux que vous voyez à gauche, dans le déshydrateur, ils ne sont pas encore « momifiés » ; mais je prévois de réduire en poudre le contenu des 5 plateaux (un peu plus d’un kilo), et à moi les soupes, sauces, etc. aux champignons.
Au fait, pour les oranges, vous avez compris l’astuce ?
Elles sont belles mes oranges !
Comment ça, vous ne les voyez pas ?
Dans le bocal à gauche, il y a 3 livres de Maltaises ! Evidemment, je les ai un peu malmenées pour réussir à les faire rentrer, mais au goût, on a vraiment l’impression de déguster l’orange fraîche, zeste inclus.
D’ailleurs, pour tester, je me suis préparée une petite orangeade, avec de l’eau pétillante… des Cévennes (ceux qui ne saisissent pas l’allusion sont priés de se reporter aux tous premiers messages publiés sur ce blog).
Maintenant, il me reste à trouver dans quelles recettes je vais pouvoir utiliser ces oranges ; une petite crème parfumée, ou un gâteau, peut-être ?