Le premier que j’ai dégoté est encore celui pour lequel j’avais, a priori, le plus de compétences : j’ai répondu « présent » à une demande de traduction pour angliciser la documentation d’un logiciel libre que j’utilise pour étiqueter mes photos. Moralité, ça n’est pas un, mais trois documents que j’ai traduits en l’espace de quelques jours (OK, les deux derniers étaient tout petits, mais le premier faisait quand même plus de 30 pages !) ; il faut croire que le donneur d’ordre est satisfait et du résultat, et de ma réactivité (à moins qu’il n’ait personne d’autre qui puisse fournir, ce que je suis assez portée à croire …) car il continue à m’alimenter régulièrement.
Le deuxième était … tout à fait inattendu : au cinéma de Saint Jean du Gard la semaine dernière, une petite affiche réclamant des bénévoles a attiré mon attention ; là aussi, j’ai répondu « présent » … pour me retrouver à tripatouiller/couper/recoller des kilomètres de films (il y avait quand même six bobines à monter, sans compter celle d’un court métrage qui nécessitait – en plus – un objectif différent !) dans la salle de projection pendant une heure et demi avant le début de la séance de ce mardi. J’aime autant vous dire qu’il va me falloir encore une ou deux séances de formation intensive avant d’être à peu près opérationnelle mais, au moins, ça me sort de mon ordinaire ! Et puis, maintenant, en tant que bénévole de Cinéco, j’ai voix au chapitre en ce qui concerne la programmation. Au fait, vous avez des films bien à me recommander ? Parce qu’avec mon séjour hors des frontières l’an dernier, je n’ai pas vraiment suivi l’activité cinématographique depuis quasiment un an !
Le troisième, j’aurais du m’y mettre depuis des lustres, mais n’avais pas encore réussi à me jeter à l’eau ; c’est maintenant chose faite, tout au moins pour la première partie : j’ai commencé mon premier encadrement sur une broderie que j’avais terminée depuis … 5 ou 6 ans ? Même que je n’ai pas forcément commencé par la plus simple (oui, il y en a d’autres qui attendent leur tour …), car tendre correctement la broderie sur le carton n’est pas forcément une sinécure … et encore moins lorsqu’elle comporte un cadre brodé dont tous les défauts d’alignement par rapport aux bords se voient comme le nez au milieu de la figure ! Après avoir gaspillé pas mal d’agrafes (je crois bien qu’il y en a plus dans la poubelle qu’au dos du carton), j’ai quand même fini par fixer la chose de manière à peu près satisfaisante. Reste encore à choisir, puis décorer la baguette, avant de terminer l’encadrement. Je vous donne rendez-vous dans quelques jours pour contempler l’oeuvre finale. A suivre …