Contrairement à la fois précédente, je n’ai pas eu à aller bien loin pour me débarrasser des cartons : le « foyer d’extérieur » (il aura fallu que je vienne ici pour découvrir cette chose !) me tendait les bras à 3 mètres de la terrasse. Je n’ai eu qu’à lui faire « ingurgiter » les cartons un à un, et en une demi-heure, tout était réglé ! Il faut dire que cet engin a un tirage particulièrement impressionnant, et qu’il dégage une bonne chaleur même sans qu’on n’y mette le plus petit morceau de bois. Ca tombait bien, car il faisait un peu frisquet. Et j’ai apprécié la cheminée, car certains cartons – à cause de l’encre ou d’un traitement chimique particulier – ont dégagé une fumée qui était … disons bien sombre. J’ai quand même choisi un moment sans trop de vent, car les flammes avaient tendance à sortir largement des limites du foyer, et j’avais déroulé le tuyau d’arrosage à proximité, pour le cas où … Surtout que l’arbre juste derrière (invisible sur la photo, car il est un peu sur la gauche) est un grand pin, donc il y a plein d’aiguilles sèches (enfin, plutôt humides, compte tenu du temps très pluvieux de ces derniers jours) sur le sol à proximité du foyer. Cerise sur le gâteau : le tas de cendres qui reste va aller rejoindre le tas de compost ; rien ne se perd …