Histoire de me remettre dans l’ambiance québécoise


« Maria Chapdelaine », de Louis Hémon

J’ai lu hier le célèbre roman de Louis Hémon. Deux choses m’ont particulièrement frappée dans ce récit :
– le rapprochement que j’ai instinctivement fait entre la disparition du coureur des bois solitaire, qui s’est « écarté », et celle du coureur des mers : le froid, l’épuisement, le corps « éventuellement » rendu par la nature …
– l’espèce de « concentration historique » (je ne trouve pas de terme adéquat !) de cette région, notamment renforcée par le fait que tous les noms de lieux – je les ai vérifiés un par un sur la carte de la région – sont strictement identiques à ceux d’aujourd’hui (le seul que je n’ai pas retrouvé est Honfleur ; je suppose que le hameau a du être incorporé dans la bourgade la plus proche). L’action se situe il y a tout juste un siècle, alors qu’un récit équivalent, de ce côté-ci de l’Atlantique, remonterait 3 ou 4 siècles en arrière. Cherchez donc un coin de France dont la géographie et la toponymie soit resté inchangées depuis 350 ans !


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