Ah qu’on est bien dans mon hamac


Hammock camping
Comme vous l’imaginez bien, une semaine à l’hôtel, c’est 7 nuits à dormir … dans un lit !
Le premier matin, je suis sortie du lit à quatre pattes : je n’arrivais pas à me redresser tant j’avais mal au dos. Du coup, les nuits suivantes, j’ai opté pour la position « en chien de fusil », du style une heure et demi sur le côté gauche, deux heures sur côté droit, etc. Tout ça ne fait pas des nuits très réparatrices et mon dos persistait à se rappeler à mon « bon » souvenir.
Si vous saviez comme je suis contente de retrouver mon hamac à partir de ce soir …


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2 réponses à “Ah qu’on est bien dans mon hamac”

  1. Comme je te comprends : on imagine mal les effets pervers et nuisibles du soi-disant confort moderne ! 2 000 ans pour arriver au lit … Peuh : quelle misère. Alors qu’un bon vieux hamac de trappeur (Trappeuse ne doit pas encore exister ?), transportable, mais quand même difficilement partageable, c’est autre chose. Et puis placé à bon escient (près du feu ou au dessus du radiateur), on peut toujours espérer passer une bonne nuit … Bon, faut juste viser pour ne pas mettre les pieds sur la braise encore assez chaude pour le Kfé ou la tête (celle-là, elle est assez dure pour résister, de tête …) sur le radiateur … mais c’est une autre histoire, et je ne voudrais pas être indiscret. Peut-être une autre fois … Gare qd même au col du fémur, car l’auteur de ce billet a un point commun avec la trappeuse masquée : il n’a plus 20 ans ; quoique … Allez : on est heureux de te retrouver saine et sauve, et on suivra tes aventures à la trace. Qui sait si un jour, on ne se croisera pas au milieu de nulle part ?? Ce sera autre chose que Morzine, tout de même !

  2. Puis-je me permettre de faire remarquer à « Monsieur le Doyen Nouvellement Nommé » qu’il est tout à fait déplacé de faire allusion à l’âge d’une dame dans la société (je vous laisse interpréter ce terme comme vous le sentez…) que j’ai l’habitude de fréquenter. Par ailleurs, vu de ma fenêtre, la non-partageabilité du hamac n’est pas un inconvénient, bien au contraire ! (d’ailleurs, j’ai horreur des ronfleurs)

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