Le chantier était déserté …
… à mon arrivée, mais il était déjà 18 heures largement sonnées et les « hommes » avaient terminé leur journée. Dans la cour, j’ai été « accueillie » par 3 grosses poutres de châtaignier …
… qui viendront prendre place de chaque côté de l’ouverture entre cuisine et salon (ça change singulièrement la perspective de voir tout ouvert comme ça !) pour 2 d’entre elles, et au bord de l’ouverture de l’escalier (pas encore faite, celle-là) pour la troisième.
Au passage, j’admire mon plafond « tout neuf » passé au karsher (finalement, la sableuse s’est révélée inutile … et impossible à amener sur les lieux !) qui termine de sécher (il a pris une sacrée douche hier !) ; il restera à peaufiner le « grattage » en quelques endroits avant de le passer à l’huile de lin, mais c’est une sacrée évolution par rapport à la frisette qui était là auparavant …
Les électriciens ont terminé leur boulot (ils reviendront à la toute fin du chantier pour poser interrupteurs et prises et finaliser tous les branchements) et ont rebouché tous leurs trous …
… y compris ceux faits dans la petite bande de terre (une grande jardinière, en fait) au pied de la terrasse dans laquelle ils ont installé les piquets de terre (c’était le seul emplacement praticable, la maison étant construite dans/sur le rocher). Dans le coin, on ne plaisante pas trop avec les dommages occasionnés par les orages, et la protection parafoudre centralisée dont j’ai demandé l’installation nécessite en effet une terre « en béton ».