Pas si plat que ça, ce pays, finalement !
Troisième visite à un Parc du Québec, celui des Monts-Valin, le plus proche de la maison. C’est aussi le plus haut, c’est sans doute pour ça qu’il n’ouvrait que début juin pour la saison d’été ; le dégel est plus tardif, et les sentiers ne devaient pas être praticables. Un autre avantage de la carte annuelle d’accès aux Parcs – auquel je n’avais pas pensé initialement – c’est que je ne me pose jamais la question de « rentabiliser » ma journée d’accès : par exemple, je ne suis arrivée sur place que vers 15 heures et n’ai pas du y rester plus de 2,5 heures. Justement, comme je suis arrivée tard et que le ciel faisait mine de vouloir se couvrir, j’ai opté pour la randonnée du Pic-de-la-Hutte, version courte ; c’est-à-dire que je suis montée au parking du haut en voiture, pour éviter de faire à pied … 600 mètres de dénivelés ! Et comme la carte mémoire de mon appareil photo m’a fait des misères (en erreur à chaque fois que j’allumais l’appareil, donc je perdais à chaque fois toutes les photos précédentes …), vous n’aurez des photos que du retour (en arrivant au belvédère en haut, je me suis tout d’un coup rappelée qu’il devait y avoir une carte de rechange dans la petite pochette de ma sacoche …)
J’ai quand même grimpé un peu pour accéder au belvédère et contempler le paysage environnant :
un petit lac, tout près, juste en-dessous …
… un autre, plus grand, beaucoup plus loin …
Dans la brume, au fond, ça doit plutôt être le Fjord du Saguenay …
Quelques paysages en redescendant …
… et c’est presque l’arrivée : il reste juste à contourner ce dernier lac et à remonter une petite côte pour retrouver la voiture.