Certains ont besoin d’un bon coup de pied au c..
… moi, c’est le fait de tomber dessus qui m’a obligée à passer à l’action. Depuis des lustres, je n’osais me lancer dans l’utilisation de la machine à coudre en mode « entraînement libre », mais cette fois-ci, j’ai bien été forcée de m’y mettre. Les « autorités » ayant décrété que je devais assurer la survie de mon collant troué pour qu’il tienne pendant les 4 mois de test, j’ai sorti la machine à coudre – avec son mode d’emploi, le tambour à broder et mon gros bouquin sur le patchwork pour réviser la méthode avant de me lancer. Certes, le résultat pourrait être plus esthétique, mais les trous ont été colmatés en quelques minutes seulement. Petite explication : avec une machine à coudre, la technique d’entraînement libre (ou manuel) consiste à escamoter les griffes qui entraînent normalement le tissu de l’avant vers l’arrière ; ceci permet de guider manuellement le tissu dans n’importe quelle direction, donc de coudre en zigzagodromie. Outre le reprisage, cette méthode est aussi utilisée pour le « quilting » (matelassage, en français) des ouvrages de patchwork. Maintenant que j’ai pu vérifié de facto à quel point la méthode était simple, je vais pouvoir me remettre au patchwork … et terminer les ouvrages restés en plan.