J’ai fait du chien à Girardville (4)


La forêt boréale

Conséquence du décalage horaire, nous nous sommes réveillées tôt, et avons du patienter jusqu’à huit heures tapantes pour accéder à la table du petit déjeuner, l’estomac dans les talons.
Le moins que je puisse dire, c’est qu’il y avait là de quoi se rassasier : oeufs au bacon, plusieurs sortes de muffins (ceux à la carotte et à la cannelle sont un vrai régal), toasts avec tout ce que vous pouvez imaginer pour mettre dessus. C’est bien simple, il y en avait un plateau complet : confitures maison (je recommande la framboise sauvage, ma préférée) , miel, etc. sans oublier le « peanut butter » dont j’ai tout de suite baptisé le pot « baril » en raison de sa taille (quand je pense que j’ai du faire plusieurs magasins à Paris pour en trouver seulement un – petit – pot !)
Tony nous a ensuite chacun dotés d’une paire d’énormes bottes et d’une veste « grand froid ». Après une courte toilette, nous avons endossé et chaussé nos équipement, puis nous sommes mis à la recherche de Tony.
Martin, le sympathique « factotum » (c’est lui qui fait l’approvisionnement des camps en bois et en eau, trimbale matériel et bagages en moto-neige, etc.) nous a indiqué le chemin menant au chenil, à une cinquantaine de mètres de la maison.
A suivre …


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