Cinéma : « Les aiguilles rouges »

Si vous avez un tant soit peu consulté les billets cinématographiques que j’ai publié depuis bientôt … quatre ans et demi, vous aurez constaté que je ne résiste jamais à film d’aventures en pleine nature, surtout lorsqu’il comporte de belles images. Et cette fois, pas plus que les autres … même s’il révèle quelques points faibles, le film est néanmoins très attachant, et l’on se demande bien comment l’aventure va se terminer ! Et puis, les paysages sont assez fabuleux (même si ils ne sont pas à la hauteur – dans tous les sens du terme – de ceux d’Himalaya, l’enfance d’un chef) ; un peu trop minéral pour moi, cependant : je maintiens que je ne suis pas vraiment tentée par des balades à ces altitudes ; « mes » Cévennes me paraissent nettement plus attrayantes.

Cinéma : « L’appel de la forêt »

J’avais pourtant adoré relire ce roman – entre autres, car je trouve Croc Blanc encore mieux – de Jack London il y a 2 ou 3 ans ; mais le film m’a paru bien en retrait. Il n’a pourtant « que » 35 ans, mais je trouve qu’il n’a pas très bien vieilli … ce n’est pas qu’il soit désagréable à regarder, mais il manque un peu … de magie, d’ambiance, de naturel ; bref, il ne m’a pas fait rêver, en tout cas pas autant que je l’aurais espéré.

Cinéma : « Amour sauvage »


Mea maxima culpa … j’ai vu ce film il y a plus d’un mois, et oublié de rédiger mon commentaire. Du coup, les souvenirs que j’en ai sont un peu … imprécis. J’ai bien aimé le scénario, trouvé le look des 3 demoiselles (le héros de l’histoire ne s’embête pas !) très « années 60 » et apprécié de voir jouer et chanter (un peu) Elvis Presley. Pas un très grand film, mais il vaut quand même la peine d’être vu.

Cinéma : « Un automne à New-York »


En toute objectivité, je n’ai pas grand chose à reprocher à ce film (bien ficelé, bien tourné, bien joué) … mais il ne m’a pas franchement passionnée ! Est-ce parce que la jeune demoiselle est un peu trop fofolle pour que je puisse m’identifier un peu à elle ? ou parce que toutes les scènes sont tournées en ville, et dans une ville qui ne m’attire franchement pas ? ou parce que Richard Gere (par ailleurs superbe …) fait un peu trop « vieux beau sur le retour » face à cette jeunette ? En tout cas, je n’en garderai pas un souvenir impérissable.

Cinéma : « Les âmes grises »

L’affiche du film

Moi, les âmes en question, je les ai trouvées franchement noires. Et les deux « gentils », le flic et le maire, ne parviennent pas à redresser la balance ! Mais le film est superbe, très bien joué, les décors et costumes superbes, l’atmosphère très « présente » (on ne voit pas la guerre, mais on l’entend et on la « sent » en permanence en arrière-plan). Chose inhabituelle pour moi, qui « n’entend » habituellement pas la musique des films lorsqu’elle n’est là qu’en fond sonore (je veux dire par là qu’elle n’est pas « sujet » dans le film), j’ai été très sensible aux superbes solos de violoncelle. Vaut très nettement le déplacement (je ne vous parle pas du prix, parce qu’avec la carte UGC Illimité, je peux aller autant de fois au cinéma que j’en ai envie et ça me coûte toujours 18 euros par mois).

Cinéma : « Avant qu’il ne soit trop tard »


Photo du film « Avant qu’il ne soit trop tard »

Le déclic n’a pas eu lieu tout de suite : l’ambiance fête (boissons, joints, qui drague qui), avec les traditionnels échanges de piques assassines et apparemment gratuites entre tous ceux qui avaient le malheur de passer à la cuisine (c’est toujours dans la cuisine que ça se passe, non ?) ne m’interpellait pas vraiment. Sans m’en apercevoir, j’ai « adhéré » progressivement, au fur et à mesure que chaque personnage se dévoilait, et que les rapports entre eux se précisaient. La morale de l’histoire : est-il vraiment raisonnable d’aimer avant 40 ou 50 ans, parce qu’avant la trentaine, qu’est-ce qu’on fait comme erreurs de jugement ! dont certaines donnent lieu à des conneries parfois lourdes de conséquences !
Sur un tout autre plan, si vous avez remarqué certain disparition dans votre courrier, j’ai une explication …

Cinéma : « Aviator »


« Aviator » (affiche du film)

Le film est monumental, vraisemblablement à la hauteur de son inspirateur, Howard Hughes.
Il est assez dérangeant de voir un homme déployer des capacités intellectuelles aussi exceptionnelles, tout en étant la proie continuelle de phobies et obsessions diverses. Faut-il donc être fou pour accomplir des choses aussi fantastiques ?