Fumée blanche ou fumée noire ?
Jusqu’ici, je n’avais pas trop percuté … Comme tout le monde, je savais qu’il fallait forger pour être forgeron (à d’autres : je vais quand même pas me lancer là-dedans !), boulanger pour savoir faire du pain (je suis à bonne école, puisque je ne mange plus que du « fait maison » depuis près de 2 ans), mais faire du feu ? Pfff ! Ca ne pouvait qu’être simple … mais pourquoi donc certaines fois, j’obtenais un feu d’enfer, qui chauffait la maison pendant des heures, transformait la bouilloire en samovar, et la station assise à la cuisine en un quasi-sauna … et d’autres fois, ce p@Z#k… de feu refusait absolument de démarrer vraiment, et ne faisait que de « charbonner » péniblement malgré l’ouverture en grand des arrivées d’air, en encrassant conduits et vitres. Autant admettre la réalité … et s’informer (merci internet) : se chauffer au bois, ça s’apprend ! Résultat, après avoir consulté moults sites (dont celui-ci et celui-là) j’ai pu démarrer mon feu ce soir en moins de temps qu’il ne faut pour … l’écrire (OK, il a quand même fallu arranger le petit bois dans le foyer), avec une superbe flambée et une montée en température hyper-rapides …
… avec juste un peu de fumée blanche (pas grise, ni noire !) épisodique.
Et maintenant … l’odeur du couscous qui mijote doucement (punaise, il bout à gros bouillons ! vite, le pousser un peu sur le côté) sur la plaque pour demain, et le petit salé aux lentilles qui se réchauffe dans le four (?! le thermomètre marque déjà 180°, il faut réorienter les fumées).
Euréka, j’ai tout compris : le bois n’était pas en cause, ni mon installation … j’accumulais seulement toutes les erreurs du débutant pour faire – soi-disant – durer le feu !