L’affiche du film

Rien à voir avec les précédents films de Woody Allen que j’ai pu voir. Un très bon film, pas moral du tout, et où le suspens vous tient jusqu’au bout. Mais côté bande son, je me serai bien passé des vieilles cires bien craquantes (selon le générique, il s’agissait d’enregistrements de Caruso !)

Photo extraite du film

Un très beau film, superbement joué, mais j’ai été un peu gênée par son côté « impressionniste » ; il n’y a pas véritablement de scénario, plutôt une suite de scènes prises presque au hasard dans la vie quotidienne de cette maison.

Affiche du film « Million dollar baby »

Certes, comme tout un chacun, j’ai trouvé la deuxième partie du film tout à fait fantastique ; mais ça ne n’empêche pas d’éprouver un malaise profond quand je vois cette foule d’aficionados excités qui veulent encore et toujours plus de sang. Si je peux comprendre le désir de vaincre des athlètes, qui les pousse à se surpasser sans cesse, ce système qui consiste à parier sur soi ressemble par trop aux paris sur les combats de coqs, de chiens, ou autres … mais là, c’est encore pire !
Non, je n’aime pas la violence gratuite (encore que là, ça rapporte !), ni la foule, ni encore moins la foule surexcitée autour d’un ring ou devant sa télé. Moi, quand je vois une « foule » de plus de 3 personnes, j’ai de tout de même une furieuse envie de faire demi-tour … et je le fais souvent.

« La Marche de l’Empereur » (affiche du film)
J’imagine que vous savez déjà que l’empereur en question n’a rien à voir avec Napoléon…
Le début du film m’a franchement laissé sur ma faim : j’avais l’impression d’avoir déjà vu toutes les meilleures images dans la bande d’annonce. J’ai préféré la deuxième partie, à partir de la ponte des oeufs ; là, il y avait vraiment du nouveau, et la salle riait tant les petits étaient attendrissants.
Vous n’aurez sans doute jamais d’autre occasion de voir de telles images, alors n’hésitez pas !

« Tu marcheras sur l’eau » (affiche du film)
Difficile d’évoquer les sentiments que provoque ce film… Je préfère m’en tenir à l’adjectif de l’affiche : bouleversant … même si l’on n’est ni israëlien, ni palestinien, ni allemand, ni homo, etc.
Ne le ratez pas !