De l’aube au crépuscule

Pas trop fraîche, ce matin, lorsque le réveil a sonné à 5h30 (cette fois-ci, je n’avais pas oublié de mettre l’alarme sur ON). Le temps de finaliser quelques préparatifs, de préparer un thermos de thé … et le thermomètre de la voiture m’a vite mise dans le bain : -6°C ! Combien allait-il faire là-haut, sur la Can de l’Hospitalet ?

J’ai vite vu : -11°C, avec un « chill factor » supplémentaire dû au vent, on ne devait pas être loin des -20° à -25°C en température ressentie. Malgré gants, bonnet, chaussettes, etc. je me suis bien pelée et, en attendant le lever du soleil, je me suis « repliée » plusieurs fois dans la voiture, pour tenter de me réchauffer un peu avec du thé bouillant et le chauffage à fond. Mais le jeu en valait la chandelle (même si je penserai à sortir l’équipement « très grands froids » pour la prochaine occasion), la lumière était bien belle …

… le vent balayait la neige sur la route, présageant de futures belles congères.

Quelques arrêts sur la route du retour, en particulier en quittant le plateau …

… ce qui a permis de beaux clichés, un peu plus à l’abri.

Mais la froidure du matin ne m’avait apparemment pas suffi, puisque j’ai remis ça pour le coucher du soleil. Au départ de la maison, vers 15h30, il ne faisait que -1°C, presque chaud ! Par contre, la montée au col de l’Espinasse s’est révélée plutôt … glissante. Surtout, j’ai bien cru que je ne pourrais aller au-delà ; lorsque j’ai entamé la petite montée vers Aire-de-Côte, la bien nommée (et avec un panneau « Route enneigée), la voiture patinait tellement que je suis redescendue en marche arrière jusqu’au col, presque décidée à renoncer. Mais après avoir vu deux voitures « ordinaires » (pas des 4×4) de chasseurs réussir à passer, j’ai retenté l’expérience en prenant un peu d’élan … j’ai même poursuivi jusqu’au gîte, histoire de faire demi-tour sur un terrain à peu près dégagé avant de venir me garer sur la ligne de crête : je n’avais pas trop envie de me lancer dans des manoeuvres hasardeuses après la nuit tombée.

Par rapport au matin, il faisait nettement moins froid et il n’y avait pas de vent. J’ai pu en profiter pour mitrailler tout mon saoûl, mais la lumière était tout de même moins belle qu’au soleil levant …

… sauf à la toute fin …

… juste avant que je ne décide de (re)plier bagages et trépied …

… pour redescendre, à 30 à l’heure (ça ne m’arrive pas souvent) vers des lieux un peu plus hospitaliers.

Contente de moi !

J’étais partie pour créer mon premier livre chez Photoways, que je pratique depuis plusieurs années pour produire mon agenda personnalisé. Mais un de mes camarades stagiaires d’Aguila m’ayant fortement recommandé la qualité et le professionalisme de Blurb, j’ai voulu tenter l’expérience. C’était pas gagné d’avance … le fournisseur propose 3 formules différentes pour créer un livre photos :

  • la création en ligne avec l’outil Bookify : franchement trop basique à mon goût ; j’avais vraiment envie de pouvoir mettre en valeur mes photos de manière personnalisée
  • la préparation « à domicile » avec le logiciel téléchargeable BookSmart, qui aurait vraisemblablement pu répondre à mes besoins, sauf que … il n’existe qu’en versions Windows, Apple et … rien d’autre ! Ayant migré sous Linux il y a plus d’un an, il me fallait donc trouver autre chose
  • la formule « du PDF au livre » qui permet de préparer ses pages et sa couverture de livre dans un outil de PAO personnel, avant de le transférer en format .pdf respectant des normes techniques fort strictes. Blurb propose gentiment des modèles tout prêts, correspondant aux différents formats de livres et couvertures disponibles … sauf que les dits modèles existent pour les utilisateurs du logiciel de PAO InDesign, qui tourne … sous Windows ou Mac seulement ! Bien sûr, rien n’interdit d’utiliser un autre logiciel de PAO, à condition qu’il puisse fournir le format requis en sortie. Remarquez que je n’ai pas eu à chercher longtemps : Scribus est « le » logiciel libre de PAO seul susceptible de concurrencer InDesign, donc c’était lui ou rien. Reste que je n’avais jamais touché un logiciel de PAO de ma vie, n’avait jamais entendu parler de PDF/X-3, avait toujours reculé à la simple idée de manipuler un fichier .icc de profil colorimétrique … Je n’étais pas au bout de mes peines !

Sur les conseils du fournisseur (ils n’ont pas l’air d’être très habitués aux clients du « libre »), j’ai commencé par tester avec un petit livre que « rien ne m’obligeait à commander », l’idée étant déjà d’arriver à produire les fichiers, et à leur faire passer les contrôles techniques draconiens de l’imprimeur. Et bien, je n’en reviens encore pas : les premiers fichiers que j’ai réussi à charger ont été validés dès le premier passage. C’est vrai, il y a eu pas mal de tâtonnements, de recherches sur le web, de questions sur divers forums ; mais le résultat a passé les contrôles sans coup férir ! Et je trouve même le résultat tellement sympa (et le prix raisonnable) que je me suis commandé le bouquin, avant de passer à la création d’un « vrai », celui dans lequel je vais regrouper mes meilleurs clichés d’une année de tâtonnements avec le réflex, l’année « pré-stage » Aguila. Si ça vous tente, je vous laisse découvrir mon premier opus, 36 pages en 18 x 18 cm ; pas de fioriture, juste une présentation semblable sur chaque page et un fond de couleur choisi pour mettre en valeur une série complète de photos prises lors d’un week-end sur le lac Salagou.

Cliquez sur l’icône « View Fullscreen » pour voir le livre en grand format.

Une promenade inhabituelle

Ca n’est pas tous les jours que je descends à la « capitale » … même quand il ne s’agit que de celle du département ! Mais j’ai profité de quelques courses à faire dans les grandes surfaces de la « banlieue » pour revenir flâner un peu dans les rues de Nîmes.

Le temps n’était pas des plus engageants, et le reflex était resté dans le coffre de la voiture (c’est quand même encombrant ce truc, même un appareil d’amateur).

Mais j’avais dans mon sac le petit compact étanche, acheté pour les sorties kayak, et j’ai décidé de « mitrailler » un peu, histoire de faire un peu de repérage pour une meilleure occasion.

J’avais oublié les inconvénients du manque de viseur (franchement pas pratique, ni précis), du zoom motorisé (un peu plus, non un peu moins, là c’est trop … aargh !) et du tout automatique (et comment je fais pour régler ma profondeur de champ ?) …

… mais bon, j’ai essayé de faire avec, ou plutôt sans ! Après la Maison Carrée sous toutes les coutures (pas exactement, parce qu’elle était cernée d’échafaudages !), je suis passée devant l’église Saint Paul …

… ai contemplé quelques belles façades majestueuses …


… avant d’atteindre les Arènes.

Je suis ensuite revenue par les rues piétonnes, découvrant au passage quelques enseignes …

… qui ne m’ont pas vraiment dépaysée par rapport à mon ancien quartier parisien !

Finalement, cette petite sortie urbaine ne m’a pas déplu … au point que je me demande si je ne vais pas y retourner un fin d’après-midi de décembre, histoire de tirer le portrait aux rues décorées pour les fêtes. D’ailleurs, j’y pense … il y aussi les jardins de la Fontaine, que je ne suis pas encore allée voir !

Les choses bougent !

En revenant d’Aubrac dimanche soir, j’ai constaté que le carreleur avait posé le carrelage de la terrasse en mon absence.

Ce matin, les poseurs de la véranda ont débarqué en force …

… et ils ont réussi à terminer ce soir la pose de la toiture. Rude boulot, car il fallait échafauder pour hisser et mettre en place 15 lourds panneaux de verre (32 mm d’épaisseur, et 35 à 40 kg pièce, quand même !)

Au programme de demain : la pose des 6 coulissants (trois sur chacun des 2 côtés), de la porte et des verrières latérales hautes (2 fixes et un vasistas). Il ne devrait plus ensuite leur rester que les bricoles et réglages divers. Et le carreleur a prévu de venir la semaine prochaine pour la chape et le carrelage de l’intérieur de la véranda. La fin du chantier approche …

C’est quand ils veulent …

Trois semaines que la pose de la structure est terminée …

… le carrelage est arrivé lundi matin …

… le carreleur est venu déposer ce matin son matériel, et apportera du sable et du ciment cet après-midi.

Il veut démarrer au plus vite, d’ici la fin de la semaine si la pluie veut bien cesser. Mais il craint qu’il ne se mette à geler et, tant que la véranda n’est pas fermée, impossible de chauffer. Messieurs les poseurs, on n’attend plus que vous. Malheureusement, ça n’est pas nouveau. Moi qui pensais profiter de la véranda cet automne …

Un vrai régal !

Il ne se mange pas, mais il se déguste ce « Linux aux petits oignons » ! Personnellement, j’ai opté pour la version on-line et gratuite, que vous trouverez au départ de cette page, et je savoure avec délectation cette prose des plus pédagogiques qui se lit comme un roman. Linux démystifié, et expliqué dans un langage accessible et rigolo, que peut-on demander de mieux ? Depuis 2 jours que j’ai commencé ma lecture (le bouquin fait 526 pages quand même !) j’ai appris une tonne de choses (alors que j’utilise Linux depuis déjà un an) tout en m’amusant beaucoup.

Quelques extraits choisis … avec beaucoup de mal, car il y en a de la sorte sur toutes les pages :

Une partie de ces commandes peut être invoquée par les utilisateurs du « commun des mortels » du système. Mais pour la plupart, ces utilitaires représentent l’équivalent numérique d’une tronçonneuse. Dans les mains d’un expert, cela permet d’abattre de la besogne en un tour de main. Mettez un utilisateur lambda aux commandes, et attendez-vous à un massacre.

Il existe grosso modo trois façons de concevoir la cuisine. Prenons l’exemple d’un plat de lasagnes.
  1. Achetez une boîte de lasagnes congelées. Placez le contenu dans un four à micro-ondes et faites chauffer. Observez la transformation progressive du bloc de béton grisâtre en geyser de boue ocre en ébullition. Notez qu’à aucun moment de l’opération, le plat ne ressemble à l’illustration appétissante de l’emballage.
  2. Achetez les ingrédients nécessaires pour la préparation d’un plat de lasagnes. Faites vos emplettes au marché et aux petits commerces du quartier, en dédaignant les supermarchés. Pour quatre personnes, … (etc. j’ai abrégé car le paragraphe est long)
  3. Inscrivez-vous à la Faculté des sciences et faites des études de biochimie alimentaire. Découvrez et apprenez par coeur la composition moléculaire de quelques milliers d’aliments. Au bout de deux ans à peine, vous serez en mesure d’évaluer le pH d’une sauce tomate et cinq ans d’études suffiront pour vous permettre d’entreprendre la modélisation moléculaire d’un plat de lasagnes alla bolognese.

La version imprimée (526 p., 1.200 g) offre une série d’avantages par rapport à la version en ligne :

  • Le livre peut servir de cale à la porte de la terrasse les jours de Mistral.
  • On peut asseoir les enfants dessus à table.
  • C’est l’objet idéal pour les interrogatoires musclés.

J’espère vous avoir convaincu d’aller jeter au moins un coup d’oeil à l’avant-propos. Mais attention, je vous aurais prévenu : c’est votre premier pas vers Linux, et vous n’aurez peut-être pas envie de faire marche arrière …

Avec les loups

Je reviens plutôt mal à l’aise de cette visite au Parc des Loups du Gévaudan. Certes, j’en sais un peu plus sur ce bel animal, et j’en ai eu le plaisir d’en voir un certain nombre …


… mais je suis bien triste de les avoir découverts si apathiques. D’accord, c’était le milieu de journée et il faisait plutôt chaud, donc ils cherchaient à se reposer à l’ombre. Et ils avaient été nourris la veille au soir (nourrissage 3 fois par semaine, les lundi, mercredi et vendredi) et étaient donc très calmes.

Mais je suis surtout gênée de les voir appâtés avec quelques bouts de viande et des croquettes (!!!) pour qu’ils viennent se montrer aux visiteurs (jusqu’à 6 fois par jour en été !).

Parqués dans des enclos somme toute assez petits, ces animaux sont totalement dépendants de l’homme pour leur subsistance ; ils n’ont plus de sauvage que le nom, et seraient bien incapables de se débrouiller en pleine nature.

Tous sont d’ailleurs nés en captivité, et destinés à y rester leur vie durant. J’en viens à me demander quel est réellement l’intérêt d’élever ces superbes bêtes en cage … La sauvegarde de l’espèce ? Sans perspective de réintroduction (comme pour les Chevaux de Przewalrski, par exemple), je n’en comprends pas bien la raison … Même les Bisons d’Europe m’avaient moins dérangée ; ils sont eux aussi captifs et nourris par l’homme, mais m’ont nettement moins donné l’impression d’être « domestiqués ». J’en viens à me demander si on ne les garde pas … simplement pour les montrer aux visiteurs, pour éduquer le public, le convaincre que le loup est un animal beau et gentil qui ne s’attaque pas à l’homme, et qu’il n’y a pas lieu de s’opposer à sa réinstallation naturelle. Bref, on en montre quelques exemplaires en cage, pour que ceux qui sont en liberté puissent continuer à vivre ? Pour moi, ça ne passe pas …

Tiens, je préfère aller voir l’enclos des cerfs juste à côté. Eux aussi sont derrière un grillage, mais ils ont plutôt tendance à s’éloigner du visiteur qui vient les « mater » ; et si on leur ouvre les grilles, je suis bien certaine qu’ils sauront se débrouiller une fois libres.

On commence à avoir une petite idée …

Difficile de s’y retrouver dans tous ces profils qui – vus de ma fenêtre – se ressemblent à peu près tous. Mais je pouvais au moins dire que la couleur était bien celle que j’avais choisie …

La mise en place « à blanc » a rapidement permis de visualiser l’emplacement et le volume réels de la véranda …

… ainsi que sa hauteur, assez impressionnante vue de la cour, même pour les poseurs qui en ont manifestement vu d’autres.

La fixation « pour de vrai » est, par contre, beaucoup plus longue ; surtout dans une maison où rien n’est d’équerre, et chaque trou doit être percé pour que la vis correspondante ne tombe pas … entre deux pierres de la façade ! Il faut en outre monter le tout sur cales, pour laisser l’espace nécessaire à la chape et au carrelage …

Après deux jours de boulot, le cadre est posé, mais pas encore les chevrons et autres traverses, renforts, etc. destinés à recevoir les verres du toit. La porte doit encore être inversée pour s’ouvrir sur l’extérieur, l’oscillant-battant destiné à assurer la ventilation en partie haute doit retourner en atelier pour se faire rétrécir …

Bref, il y a de quoi faire pour deux journées encore avant que les cotes finales ne puissent être relevées pour la commande des verres de la toiture. Délai estimé : entre 2 … et 5 ou 6 semaines ! Dans l’intervalle, le maçon interviendra pour combler tous les interstices entre murs et profils, et poser la fenêtre du petit passage derrière la maison. Avec un peu de veine, le carreleur trouvera peut-être le temps de venir s’occuper du sol avant que les températures ne baissent de trop.
La suite … au prochain épisode !

Vous n’avez pas peur ?

Non, je n’ai pas peur d’être attaquée par les sangliers … sauf que, si chaque personne rencontrée me pose cette question, si je manque de faire faire une crise cardiaque à deux joggers en surgissant des buissons 30 mètres derrière eux (j’avais bivouaqué sous les arbres à quelques mètres en retrait du sentier), inévitablement, ça finit par « imprimer ». Tout de même, en 4 jours et un peu plus de 60 kilomètres, je n’ai pas vu ne serait-ce que la queue d’un sanglier ; par contre, du monde, j’en ai vu ! Des micro-fourmis rouges aussi, d’ailleurs, qui se sont invitées à ma dernière pause-déjeuner. Même que je me suis assez vite mise en petite tenue pour secouer vigoureusement mes vêtements et essayer de me débarrasser au plus vite de cette engeance ; je ne sais pas d’où sortaient ces bestioles de 2mm de long, mais elles pullulaient et ne voulaient pas lâcher prise !

A l’exception de ce petit désagrément, j’ai eu plaisir à retrouver des sensations un peu oubliées depuis … près de deux ans et demi déjà : marcher la journée à mon rythme (mais avec un sac bien lourd) sans trop me préoccuper de la distance parcourue, chercher un lieu de bivouac convenable (pour les adeptes du hamac, le choix est vaste), trouver de l’eau (la principale préoccupation quotidienne – un grand merci au groupe de chasseurs rencontrés au col de l’Uglas qui m’ont dépannée de 4 litres), m’endormir aux bruits de la nature, me réveiller à la lumière du soleil levant (et au bruit de sabots … de cervidés ? qui détalaient), apprécier de trouver un point d’eau (un seul en 4 jours de canicule !) pour faire un brin de toilette.

Les premiers jours ont tout de même été durs, et je me suis même demandée si j’avais encore l’âge de ce genre d’équipée. D’autant plus que mon GPS s’obstinait à m’annoncer 8 kms de retard sur ce que je pensais avoir parcouru. La question m’inquiétait d’autant plus que je ne voyais pas d’où pouvait venir l’erreur, et que je craignais qu’elle n’impacte plusieurs tronçons du parcours ; allais-je pouvoir faire le tour en 4 jours comme prévu ? ou me faudrait-il une journée de plus ?

Ca n’est que le dernier jour que j’ai compris mon erreur : comme certains avancent leur réveil pour ne pas être en retard, j’avais tout simplement … avancé mon point de départ/arrivée de plusieurs kilomètres, mais par inadvertance ! Du coup, la dernière étape qui est toujours une des plus agréables (ça descend beaucoup plus que ça ne monte, le sac n’a jamais été aussi léger, bientôt la douche, etc.) s’est arithmétiquement trouvée diminuée de 8 kilomètres, et c’est à 14h30 sonnantes (à l’église du village) que j’ai finalement déposé le sac à dos dans le coffre et troqué avec soulagement mes chaussures de marche contre mes Crocs bien confortables.

A part ça, l’appareil photo n’aura pas beaucoup servi : la prochaine fois, réflex et zoom resteront à la maison, et je n’emporterai que le petit compact à toute épreuve. Dans ce genre de balade, mes neurones sont très basiquement préoccupés de mes pieds, mon dos, la recherche d’eau ou du prochain bivouac, et pas d’histoire de cadrage ou d’exposition ; sans compter que 15 à 20 kilos dans le dos ne prédisposent pas aux acrobaties souvent nécessaires à une bonne prise de vue. Le même raisonnement s’applique à la boîte d’aquarelles et le carnet de croquis qui l’accompagne …

Ces « accessoires » seront désormais cantonés aux randonnées « hébergées », pour lesquelles j’ai moins de problèmes de logistique à gérer, moins de poids à transporter … et plus de temps à consacrer à des considérations « artistiques ».

Une exception notable tout de même : pour le stage photo en montagne du week-end prochain, j’emporte le réflex, le téléobjectif, et même le trépied !

Ah ! J’oubliais … pour les curieux, il s’agissait du Tour du Galeizon, au départ de Cendras.