Deuxième panne d’afficheur en 3 ans et demi pour ma Bréville … dommage, elle pouvait encore tourner mais sans que je puisse savoir ce qu’elle faisait … et la réparation (ajoutée à la précédente) aurait coûté aussi cher que la machine. Gros dilemme : je rachète une MAP d’entrée de gamme, ou je pars pour la Rolls des machines à pain, j’ai nommé la Panasonic. Après recherches sur le web, sondage dans les forums, je me décide, la mort dans l’âme, à réinvestir 199 euros …

… en espérant que le jeu en vaudra la chandelle ! Pour mes deux premiers pains, un complet aux graines et un seigle aux noix, je dois dire que le résultat est au rendez-vous …

… j’ai rarement réussi à avoir d’aussi belles boules. C’est vrai que je m’améliore aussi questions levain et cuisson au four, mais le pétrissage a aussi son importance.

Je vais continuer à apprivoiser la bête, en espérant d’autres belles – et bonnes – réussites.
A suivre …

Elle, par contre, est arrivée en un temps record : commandée un vendredi soir après 18h sur le site Le Meilleur du Chef, elle a été expédiée le lendemain samedi et est arrivée à destination le mardi matin suivant ! C’était il y a une semaine, mais il a fallu que j’attende d’avoir exhumé ma balance d’un des cartons pour « lancer » mon premier pain. Vu à travers le hublot, ça ne paraît pas trop mal, mais je n’entretiens pas un optimisme démesuré pour ce premier essai : les quantités d’eau préconisées par le livre de recettes, d’une part, et le paquet de farine, d’autre part, n’étaient pas franchement compatibles, et j’ai l’impression que mon pâton était un peu trop humide !
Verdict dans deux petites heures …

Il est venu, j’ai vu, mais je n’ai pas encore vaincu ! J’ai bien l’impression qu’il va me falloir réapprendre à cuisiner de A à Z avec cette petite chose : j’ai essayé tout à l’heure de faire du riz au lait … eh bien, il n’y a plus un seul grain de riz dedans ! Mais rassurez-vous, cette crème de riz à la vanille est très onctueuse et délicieuse. Mais je pense que je choisirai quand même la vitesse minimale la prochaine fois …D’autres idées gourmandes …

Mon Foodsaver tout neuf a déjà bien servi !

Pas question de bouger de la maison ce matin : j’avais repéré sur le site internet d’UPS que mon paquet avait quitté Jonquière de bonne heure, il ne devait donc pas tarder à être livré. Effectivement, le livreur a frappé à la porte aux alentours de 10 heures. La mauvaise surprise, c’est qu’il m’a réclamé 22,50$ de frais et taxes (j’avais passé la commande aux US, car je n’ai pas trouvé de fournisseur canadien en ligne) additionels. Au total, la petite bête qui met sous vide et soude toute seule me revient à un peu moins de 210$, soit à peine 150 euros … alors que le modèle d’entrée de gamme (tout manuel) m’aurait coûté 200 euros (prix relevé sur internet, frais de port inclus) en France. Cherchez l’erreur … D’autant plus que c’est un appareil que j’utilise quasiment quotidiennement ; j’ai d’ailleurs tout de suite reconditionné tous les plats préparés maison que j’avais congelés depuis deux semaines : ça prend moins de place dans le congélateur et j’ai pu récupérer toutes mes boîtes plastique pour un autre usage. Et j’ai aussi resoudé (sans vide) les paquets plastiques contenant épices, noix, etc.

Barbecue avec réglage d’air et bac à cendres amovible

J’ai finalement trouvé mon bonheur, et pour pas cher : ce barbecue, similaire à celui présenté sur la plupart des photos de recettes du bouquin, ne m’a coûté que … 47 $ (+ taxes, comme d’habitude) alors que le premier prix en barbecue au gaz est vendu au minimum 3 fois plus cher (et je ne vous parle pas des monstres haut de gamme !). Du coup, j’ai acheté en même temps la série d’accessoires qui va bien : pinces, palette, grille à nettoyer, pinceau à huiler (le tout équipé de grands et beaux manches en bois), cheminée d’allumage, gants, panier-gril et un paquet de brochettes en bambou ; ça devrait suffire pour démarrer … Restait le combustible : hier, je n’ai rien trouvé d’autres que des « briquettes » (ça existe en France, ça ?), donc j’en ai pris un paquet de taille moyenne pour commencer ; aujourd’hui, j’ai repéré des paquets intitulés « charbon de bois traditionnel », que j’essaierai la prochaine fois. Je vous ferai saliver d’ici peu avec mes réalisations : pour ce soir, le soleil est bien présent mais le vent est frisquet et je viens de me résoudre à refermer la porte-fenêtre. A suivre …

Mes premiers muffins « au silicone »

Ca faisait déjà bien longtemps que j’examinais sous toutes leurs coutures (façon de parler, car de coutures, ils n’en ont pas!) les différents modèles de moules à pâtisserie au silicone ; mais si ils paraissaient bien tentants, mes vieux moules en fer blanc restaient en bon état de fonctionnement et je n’avais pas trop envie d’investir pour le simple plaisir de me mettre au goût du jour. Sauf que, quand j’ai voulu racheter des caissettes en papier pour faire des muffins (je déconseille fortement l’utilisation de moules traditionnels sans ces petits accessoires, sauf si vous voulez passer plus de temps à graisser les moules, en extraire les muffins, et procéder au nettoyage, qu’à la préparation et à la dégustation proprement dite), je n’ai trouvé que des paquets de 10 au prix de … 2,31 euros ! Du coup, je me suis dit que le moule en silicone pour 6 muffins, vendu 14,90 euros, serait vite rentabilisé : graissage du moule inutile, suppression des fameuses caissettes de papier, démoulage simplissime … que des avantages. Mais maintenant que j’ai constaté, in vivo, la facilité d’utilisation des engins, il n’est pas exclu que j’investisse dans quelques autres modèles de moules …

Superbe plat à tarte en grès

Ca faisait un moment que j’avais envie d’un beau plat à tarte / tourte en terre cuite mais, habituée aux moules métalliques à fond amovible, je ne voyais pas bien comment résoudre le problème du démoulage. Ma soeur préférée (comme je n’en ai qu’une, il n’y aura pas de jalouse) m’a donné la solution ce week-end : il suffit de couvrir le fond du moule avec du papier sulfurisé (accessoirement, ça évite aussi d’avoir à le graisser), pour en extraire facilement la tarte une fois la cuisson terminée.
Du coup, je suis passée cet après-midi dans un petit magasin de poterie à deux pas de la maison et j’en suis ressortie avec ce superbe moule en grès d’un beau jaune miel. A l’origine, je cherchais un plat à cake ; il y en avait aussi, mais pas dans des couleurs qui me convenaient, mais ce n’est que partie remise, il y a régulièrement des arrivages.
Si vous passez dans le quartier Montorgueil, allez donc jeter un petit coup d’oeil à la boutique, il y a des choses superbes (il faut que je m’accroche à ma carte bleue pour ne pas craquer !) : elle se trouve dans la rue Saint-Sauveur, sur la droite, une cinquantaine de mètres après avoir quitté la rue Montorgueil.

La mandoline Oxo, un ustensile de « pro »

Inutile de chercher les cordes, il ne s’agit pas là de l’instrument de musique, mais de l’ustensile de cuisine ! Là, je sens comme un petit flottement dans l’assistance …
Oui, il s’agit d’un appareil qui permet de trancher rapidement tous types de légumes (voir fruits), ou d’en faire des juliennes, frites, tranches ondulées style gaufrettes, etc. Habituellement, ce type d’outil requiert une ribambelle de lames et accessoires divers qu’il faut interchanger, nettoyer, ranger, etc.
La particularité de ce modèle-là, c’est qu’il est « tout en un » : il suffit de tourner une molette pour choisir l’épaisseur des tranches, ou des bâtonnets (type frites ou julienne), et la lame est réversible (un côté plat, l’autre ondulé).
Le seul problème, c’est que la molette ne se bloquait plus, et que la mandoline était devenue inutilisable en position frites / julienne ; pour un ustensile de 90€ qui n’avait pas 6 mois, je la trouvais un peu saumâtre ! Heureusement, Kitchen Bazaar me l’a échangé sans discuter.
Pour plus d’info sur cette petite merveille, consultez le site du fabricant http://www.oxo.com