Cinéma : « Le dernier château »

Je suis rarement déçu par les interpétations de Redford, mais là, il est vraiment très, très impressionnant ! Il habite complètement le rôle de ce personnage hors du commun, un gradé de très haut rang condamné à plusieurs mois de prison militaire. C’est tout à fait fascinant de le voir, petit à petit, fédérer toute la population des détenus et … bon, il ne faut pas que je vous raconte tout ! Mais c’est un très bon film, un de ceux que je reverrai avec grand plaisir, alors même qu’il ne comporte ni beaux paysages, ni aventure ou romance quelconque … rien que des hommes prêts à se battre – et avec quels moyens ! – pour retrouver leur dignité. A voir, et à revoir sans modération.

Cinéma : « Malabar princess »

On n’a pas le temps de s’ennuyer ! Le « petit » ne peut pas rester tranquille 2 minutes, et il vous invente de ces frasques … Si vous n’avez encore jamais vu un 4×4 grimper une falaise à la verticale, ne ratez pas ça … et il y en a encore quelques autres qui valent leur pesant de cacahuètes. Même si ça manque quelquefois de vraisemblance, ne boudons pas notre plaisir ; à voir sans modération … mais prenez garde que ça ne donne pas quelques idées d’expériences à vos garnements !

Cinéma : « Final cut »

J’ai franchement regretté à plusieurs reprises de ne pas avoir arrêté le DVD tellement c’est vulgaire et moche. Le réalisateur a opté pour la mise à nue, sans aucun fard, des turpitudes des uns et autres, et les images sont franchement moches (gros plans déformants, lumière et couleurs pas belles). L’histoire en vaut pourtant la peine ; j’en viendrais presque à souhaiter qu’elle fasse un jour l’objet d’un remake par quelqu’un qui ait plus de respect pour les personnages (et, par voie de conséquence, pour les spectateurs), un cinéaste qui sache nous tenir en haleine jusqu’à la scène finale plutôt que de nous faire nous interroger sur les prochaines bassesses qu’il nous réserve. Si vous voulez savoir comment ça se termine sans être obligé de visionner la totalité du film, vous pouvez toujours me contacter par mail, et je vous raconterai la fin !
PS : attention, il y a apparemment 2 films portant le titre de « Final cut », sans aucun rapport l’un avec l’autre ! Celui-ci dont je parle ici a été réalisé en 1998 par Dominic Anciano, et Jude Law en est l’un des principaux protagonistes.

Cinéma : « Vipère au poing »


Peut-être que je deviens de plus en plus difficile … mais là, je dis … Bof ! Oh, le film n’est pas mal ficelé ; c’est juste qu’il ne me touche pas. Ambiance pas très crédible ? Manque d’incarnation des personnages ? Toujours est-il que je ne suis pas convaincue, je ne me sens pas concernée, je ne ressens rien … En fait, d’être « simplement » spectateur m’emm… et je me sens pas acteur du tout là-dedans ! Ca m’a juste donné envie de connaître la suite de l’histoire (je ne résiste jamais à une sage) ; je vais vois si je trouve à la médiathèque les deux autres romans qui suivent celui-ci : La mort du petit cheval et Le cri de la chouette.

Cinéma : « Les aiguilles rouges »

Si vous avez un tant soit peu consulté les billets cinématographiques que j’ai publié depuis bientôt … quatre ans et demi, vous aurez constaté que je ne résiste jamais à film d’aventures en pleine nature, surtout lorsqu’il comporte de belles images. Et cette fois, pas plus que les autres … même s’il révèle quelques points faibles, le film est néanmoins très attachant, et l’on se demande bien comment l’aventure va se terminer ! Et puis, les paysages sont assez fabuleux (même si ils ne sont pas à la hauteur – dans tous les sens du terme – de ceux d’Himalaya, l’enfance d’un chef) ; un peu trop minéral pour moi, cependant : je maintiens que je ne suis pas vraiment tentée par des balades à ces altitudes ; « mes » Cévennes me paraissent nettement plus attrayantes.

Cinéma : « Le peuple migrateur »

Même si je n’ai jamais éprouvé les tentations d’Icare (je suis tellement bien les pieds sur terre, ou à patauger dans quelques dizaines de centimètres d’eau …), je reste complètement époustouflée par la beauté de ce film : voir les oiseaux en vol d’aussi près, dans des paysages fabuleux aux quatre coins du globe (les réalisateurs ont suivi de nombreux oiseaux dans leur migration), assister aux parades nuptiales, observer le coucou à peine né (il n’a pas encore une seule plume sur le corps) éjecter du nid l’oeuf d’un faux-frère, c’est tout bonnement à ne pas rater ! D’autant plus que la version DVD permet de visionner le film en plusieurs versions : avec/sans commentaire, avec/sans interactivité (fiches signalétiques, cartes, interviews annexes). Bref, j’avais aimé La marche de l’empereur, mais là, j’ai adoré. Et si vous n’êtes pas encore convaincu, jetez donc un petit coup à la bande-annonce ci-dessous :

Cinéma : « Himalaya, l’enfance d’un chef »

Quand le documentaire se fait film d’aventures, dans des paysages d’une beauté à couper le souffle (hormis le fait qu’il n’y a pas un brin de verdure !), avec des personnages superbes d’émotion et de vérité (tous non-professionnels jouant leur propre rôle/vie) qui sont les derniers témoins d’une époque/civilisation en voie de disparition (on appelle ça le progrès !), le tout sur une musique envoûtante … ça laisse des impressions/images/sons qu’on est pas près d’oublier. Apparemment, le film n’a pas été très diffusé en salles … raison de plus pour vous procurer le DVD. Outre le film, vous y trouverez des bonus de grande qualité : making-off (les dessous d’un tournage à 4000m et plus d’altitude, à 15 jours de marche de la « civilisation », par des températures très largement négatives), commentaires audio de l’équipe de réalisation (sur toute la durée du film, ce qui permet de le voir une 2è fois), présentation de la région, etc ; il m’a fallu 2 soirées pour visionner le tout. Bref, un film que je recommande chaudement pour tous les âges.

Cinéma : « La sirène du Mississipi »

Heureusement que j’ai suffisament vu ces acteurs par ailleurs pour n’avoir pas de doute sur leurs compétences car, là, je les ai trouvé franchement mauvais, voire même très mauvais. J’imagine que la direction d’acteurs doit y être pour quelque chose, car il n’y en a pas un pour racheter l’autre (j’inclus là-dedans les rôles secondaire) : ils sont tous guindés et manquent totalement de naturel et de passion … dans une histoire où la passion quelle qu’elle soit (argent, pouvoir, amour) semble être l’unique moteur de l’action. Je ne recommande pas …

Cinéma : « Lions et agneaux »

Ne me demandez pas de vous expliquer de quoi il retourne … Y avait sûrement plein de choses à comprendre mais, pour moi, c’est resté d’un hermétisme total … y compris les dialogues de Redford-professeur avec son élève qui paraissaient s’échanger des répliques au 15è degré ! Bref, si on n’est pas très branché politique internationale, et spécialiste des interventions américaines en Irak et Afghanistan, mieux vaut aller voir autre chose. J’avais probablement flashé sur la distribution lorsque j’ai eu la mauvaise idée de mettre le DVD dans ma liste de films à voir : une telle brochette d’acteurs, c’est toujours tentant !