Ces gens-là me tirent du lit par téléphone (je m’étais couchée tard après le concert d’hier soir…) pour avoir le code de la porte (visiblement, ils sont déjà passés une fois, mais en dehors des heures ouvrables, sinon ils auraient pu rentrer !) , m’annoncent qu’ils quelque chose à me livrer dans l’après-midi à partir de 14h. Je reste à la maison toute la journée en attendant ladite livraison et, à 20h30, toujours rien.

Evidemment, quand je les appelle, ils ne peuvent rien me dire car je n’ai pas le code-barres ! (si seulement ils me l’avaient communiqué quand ils m’ont appelée ce matin) ; sinon que « oui, il est presque 18h, ils peuvent déborder sur l’horaire normal de livraison… mais ils peuvent aussi passer le lendemain matin ».

Résultat des courses : j’ai quelque chose en attente dans un entrepôt (ou un camion) non identifié, je ne sais pas ce que c’est, ni d’ou ça vient. Avec un peu de veine, c’est le matelas de camping que j’attends, en provenance des Etats-Unis, et j’aimerais bien l’avoir pour partir jeudi ; mais je vais encore devoir poireauter à la maison jusqu’à je ne sais quelle heure demain… et j’ai quand même encore quelques courses à faire avant de partir !